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> Manger, jeûner  – avec Michel Maxime Egger, sociologue et théologien orthodoxe ;Françoise Wilhelmi de Toledo, médecin et directrice de clinique. 
> Les nouveaux chercheurs de sens  – avec Jean-François Barbier-Bouvet, chercheur au Gerpse. 
> Traverser la maladie  – avec Baptiste Beaulieu, médecin, écrivain et blogueur ; Samuel Pruvot, journaliste et écrivain ; Marion Muller-Colard, pasteure et écrivaine. 
> Un dialogue entre l’Orient et l’Occident  – avec Pascal Ide, médecin et théologien ; Jean-Gérard Bloch, médecin rhumatologue, directeur du diplôme universitaire Médecine, méditation et neuroconscience, université de Strasbourg ; Dominique Casays, kinésithérapeute spécialisé en médecine chinoise et président du Centre de culture chinoise les Temps du Corps.

5 gestes pour donner une bouffée d’air à vos enfants

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Comment éviter, chez les enfants, le cortège des rhumes qui dégénèrent en bronchiolites et des otites qui s’enchaînent dès l’arrivée de l’automne ?

Pour Jean-Paul Allaux, kinésithérapeute pendant 40 ans et enseignant à l’université de Pau et aux thermes de Cambo-les-Bains (64), la réponse se trouve dans notre respiration : « Respirer, c’est vivre, c’est un réflexe de survie. Dès lors que l’enfant se sert de son nez, il est beaucoup plus réceptif à ce qui se passe autour de lui. Un enfant au nez bouché va respirer par la bouche, et la zone olfactive ne sera plus stimulée. » Un enfant qui respire mal, dormira mal, sera fatigué et aura du mal à se concentrer.

Apprendre à respirer, ça commence par apprendre à se moucher et à respecter une…

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Anniversaire, communion, entrée au collège, brevet, bac : autant d’occasions de marquer le coup ! Parents, parrain, marraine, grands-parents, peuvent proposer de vivre un moment privilégié, afin de marquer cette étape. « Ce n’est pas toujours facile de faire plaisir à des adolescents ! », avoue Denise, grand-mère de 11 petits-enfants. Cette Lyonnaise a trouvé un truc : « Une année, j’ai invité une brochette de cousins du même âge 5 jours dans un camping. Nous avons fêté les 15 ans…

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Pour Jean-Paul Allaux, kinésithérapeute pendant 40 ans et enseignant à l’université de Pau et aux thermes de Cambo-les-Bains (64), la réponse se trouve dans notre respiration : « Respirer, c’est vivre, c’est un réflexe de survie. Dès lors que l’enfant se sert de son nez, il est beaucoup plus réceptif à ce qui se passe autour de lui. Un enfant au nez bouché va respirer par la bouche, et la zone olfactive ne sera plus stimulée. » Un enfant qui respire mal, dormira mal, sera fatigué et aura du mal à se concentrer.

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Voici DNA.LAND, le plus grand projet d’analyse du génome humain au monde

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C'est seulement en analysant un très grand nombre de séquences d'ADN que les généticiens peuvent trouver des relations statistiquement fortes entre les gènes et les caractères. - Ph. Shaury / Flickr / CC BY SA 2.0

C’est seulement en analysant un très grand nombre de séquences d’ADN que les généticiens peuvent trouver des relations statistiquement fortes entre les gènes et les caractères. – Ph. Shaury / Flickr / CC BY SA 2.0

Il s’appelle DNA.LAND et c’est le plus vaste projet d’analyse de génomes humains qui ait jamais vu le jour. Son but : étudier les gènes de millions de personnes, afin d’établir comment ils influencent leur santé et leurs caractéristiques physiques.

Pourquoi un si grands nombre de participants ? Car pour découvrir comment les gènes influencent le bon fonctionnement de l’organisme, les scientifiques ne peuvent tirer des résultats fiables qu’en travaillant sur des grands nombres d’individus, de manière à ce que les liens statistiques entre tel gène et tel caractère (par exemple, une prédisposition à l’obésité) soient les plus solides possibles.

C’est ainsi que le généticien computationnel Yaniv Elrich du Massachussets Institute of Technology (États-Unis) a eu une idée qui promet de pousser la recherche génétique dans le domaine du Big data (les grands corpus de données) : se servir, pour ses analyses, de la grande quantité de génomes déjà séquencés par des entreprises commerciales de généalogie, telles que Family Tree DNA, Ancestry.com 23andMe. Ces dernières proposent de remonter son lignage en recherchant dans l’ADN des traces de parenté avec d’autres participants.

L’idée : analyser les génomes humains déjà séquencés par des entreprises commerciales

Moyennant paiement, quiconque peut envoyer à ces entreprises de génomique un échantillon de salive ou de sang, et recevoir en échange une analyse complète de l’ADN (chromosomes autosomiques, chromosomes sexuels, mitochondries), suite à laquelle il ou elle sera mis en contact avec les personnes les plus proches génétiquement.

Avec le projet de science participative DNA.LAND, Yaniv Elrich, surnommé le “hacker du génome” compte ainsi exploiter ces bases de données génomiques déjà existantes, ce qui lui épargnerait tout le processus, aussi coûteux que fastidieux, de la récolte des échantillons génétiques, de leur séquençage et du stockage des données.

Il a ainsi lancé un appel à participation aux personnes ayant déjà fait séquencer leur génome par voie commerciale, afin qu’ils mettent à disposition les résultats à la science. Présenté ce 10 octobre à la conférence annuelle de la Société américaine de génétique humaine (ASHG), DNA.LAND sera réalisé en tandem avec Joseph Pickrell du New York Genome Center et de l’université Columbia (New York).

Le but : établir des liens statistiquement significatifs entre gènes et maladies

L’avantage pour les participants à la plate-forme DNA.LAND ? Ils gagneront des informations supplémentaires sur leur profil génétique (car le séquençage commercial présente des “trous”) et pourront connaître les personnes avec qui ils partagent le plus de séquences génétiques, et qui font donc peut-être partie de leurs cousins éloignés.

De leur côté, en plus d’un très grand nombre de séquences génétiques, les chercheurs auront aussi accès à des informations précieuses sur le vécu et l’état de santé des participants et de leur famille d’origine. Ils espèrent ainsi établir des relations plus étroites entre la présence de certaines séquences d’ADN et de certaines maladies, comme les cancers, les démences (Alzheimer) ou les maladies métaboliques (diabète, obésité…).

Pour l’instant, DNA.LAND compte 6651 participants, mais avec l’accélération des techniques de séquençage, le nombre de participants pourrait connaître une inflation considérable. Yaniv Elirch affirme que d’ici à 2025, deux milliards de personnes par le monde pourraient avoir fait séquencer leur génome par voie commerciale. Ce qui pourrait grandement profiter aux projets scientifiques !

Une mise en garde cependant : si DNA.LAND assure qu’il traitera les données que de manière anonyme, les chercheurs eux-mêmes affirment qu’il ne serait pas impossible qu’ils puissent identifier une personne rien qu’à partir de son ADN ! Dévoiler l’identité d’une personne à partir de ses gènes était d’ailleurs l’un des objets d’étude précédents de Yaniv Elrich…

Pour preuve de leur bonne foi, Elrich et Pickrell ont publié l’intégralité de leur génome sur la plateforme DNA.LAND.

—Fiorenza Gracci

 

> Lire également :

 

> Lire aussi dans les Grandes Archives de Science & Vie :

  • Google, le nouvel Einstein – S&V n°1138 (2012) – Depuis une dizaine d’années, la plupart des données qui circulent dans la Toile sont conservées dans les serveurs des grandes firmes d’internet. Grâce à cela, nous possédons une mémoire détaillée des activités humaines et des évènements passés et présents… que les scientifiques exploitent pour pister des épidémies, découvrir de nouvelles lois, soigner des maladies. La science des Big Data est en route.

1138

  • L’ADN connaît votre visage – S&V n°1165 (2014) — A partir d’une trace de salive laissée sur un verre ou d’un cheveu tombé par terre, des logiciels de profilage génétique permettront très bientôt de réaliser de vous un portrait-robot ! Ce qui intéresse beaucoup la police judiciaire.

S&V 1165 - ADN portrait robot

S&V 1135 - genetique sequencage

 

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