Les difficultés scolaires mises en échecs

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À 9h30, comme chaque jeudi, Mathilde Serrano, enseignante en CP à l’école des Calmettes, au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), interrompt son cours pour accueillir Philippe Moreira. Cet animateur d’échecs chevronné, salarié d’Europe échecs, est mandaté par la ville pour enseigner ce jeu ancestral aux élèves des écoles primaires, une heure par semaine, aux côtés des enseignants volontaires.


« Philippe ! », s’exclament les enfants d’une seule voix lorsque l’animateur entre dans la classe. Il accroche un échiquier au tableau et installe la position du jour à l’aide de pièces aimantées tandis que l’institutrice canalise la classe impatiente. Après avoir revu la valeur de chacune des pièces, les enfants apprennent à déplacer le cavalier. Puis des échiquiers sont distribués et des binômes choisis afin d’équilibrer les niveaux. Chacun tend la main à son adversaire et lui souhaite une bonne partie. Les enfants se concentrent pendant une demi-heure,…

Les couples catholiques face à l’épreuve de l’infertilité

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Aller à la messe du samedi soir et non à celle du dimanche midi pour éviter de croiser des familles avec enfants. Se retrouver oubliés par le prêtre lors des bénédictions car il ne s’adresse qu’aux familles. Esquiver les questions à propos du petit dernier qui ne vient pas. Devoir expliquer pourquoi on ne répond pas aux propositions de pèlerinages des pères et des mères de famille. Tel est le quotidien des couples infertiles dans l’Église.


Aujourd’hui, 10 à 15% des couples sont confrontés à des problèmes d’infertilité, qu’elle soit primaire (incapacité à parvenir à une grossesse ou à la mener à terme) ou secondaire (le couple a pu avoir au moins un enfant mais n’y parvient plus). Certains d’entre eux sont chrétiens. « L’infertilité est une vraie souffrance, se souvient Véronique Cortyl, souriante jeune femme brune, responsable avec son mari de la pastorale Couples en espérance d’enfants dans la communauté de l’Emmanuel. On ne se…

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Aller à la messe du samedi soir et non à celle du dimanche midi pour éviter de croiser des familles avec enfants. Se retrouver oubliés par le prêtre lors des bénédictions car il ne s’adresse qu’aux familles. Esquiver les questions à propos du petit dernier qui ne vient pas. Devoir expliquer pourquoi on ne répond pas aux propositions de pèlerinages des pères et des mères de famille. Tel est le quotidien des couples infertiles dans l’Église.


Aujourd’hui, 10 à 15% des couples sont confrontés à des problèmes d’infertilité, qu’elle soit primaire (incapacité à parvenir à une grossesse ou à la mener à terme) ou secondaire (le couple a pu avoir au moins un enfant mais n’y parvient plus). Certains d’entre eux sont chrétiens. « L’infertilité est une vraie souffrance, se souvient Véronique Cortyl, souriante jeune femme brune, responsable avec son mari de la pastorale Couples en espérance d’enfants dans la communauté de l’Emmanuel. On ne se…

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Aujourd’hui, 10 à 15% des couples sont confrontés à des problèmes d’infertilité, qu’elle soit primaire (incapacité à parvenir à une grossesse ou à la mener à terme) ou secondaire (le couple a pu avoir au moins un enfant mais n’y parvient plus). Certains d’entre eux sont chrétiens. « L’infertilité est une vraie souffrance, se souvient Véronique Cortyl, souriante jeune femme brune, responsable avec son mari de la pastorale Couples en espérance d’enfants dans la communauté de l’Emmanuel. On ne se…

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Aujourd’hui, 10 à 15% des couples sont confrontés à des problèmes d’infertilité, qu’elle soit primaire (incapacité à parvenir à une grossesse ou à la mener à terme) ou secondaire (le couple a pu avoir au moins un enfant mais n’y parvient plus). Certains d’entre eux sont chrétiens. « L’infertilité est une vraie souffrance, se souvient Véronique Cortyl, souriante jeune femme brune, responsable avec son mari de la pastorale Couples en espérance d’enfants dans la communauté de l’Emmanuel. On ne se…

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Aujourd’hui, 10 à 15% des couples sont confrontés à des problèmes d’infertilité, qu’elle soit primaire (incapacité à parvenir à une grossesse ou à la mener à terme) ou secondaire (le couple a pu avoir au moins un enfant mais n’y parvient plus). Certains d’entre eux sont chrétiens. « L’infertilité est une vraie souffrance, se souvient Véronique Cortyl, souriante jeune femme brune, responsable avec son mari de la pastorale Couples en espérance d’enfants dans la communauté de l’Emmanuel. On ne se…

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Aujourd’hui, 10 à 15% des couples sont confrontés à des problèmes d’infertilité, qu’elle soit primaire (incapacité à parvenir à une grossesse ou à la mener à terme) ou secondaire (le couple a pu avoir au moins un enfant mais n’y parvient plus). Certains d’entre eux sont chrétiens. « L’infertilité est une vraie souffrance, se souvient Véronique Cortyl, souriante jeune femme brune, responsable avec son mari de la pastorale Couples en espérance d’enfants dans la communauté de l’Emmanuel. On ne se…

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Aujourd’hui, 10 à 15% des couples sont confrontés à des problèmes d’infertilité, qu’elle soit primaire (incapacité à parvenir à une grossesse ou à la mener à terme) ou secondaire (le couple a pu avoir au moins un enfant mais n’y parvient plus). Certains d’entre eux sont chrétiens. « L’infertilité est une vraie souffrance, se souvient Véronique Cortyl, souriante jeune femme brune, responsable avec son mari de la pastorale Couples en espérance d’enfants dans la communauté de l’Emmanuel. On ne se…