Ils rejouent le match France-Allemagne du mondial 1982

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Les projecteurs aveuglants du stade départemental Yves-du-Manoir découpent des pans de clarté dans le crépuscule pluvieux. Ce lundi soir, à Colombes (Hauts-de-Seine), des forçats en crampons, ballottés par un vent glacial, transpirant sous la rincée, préparent un match unique : une demi-finale de Coupe du monde de football, qu’ils disputeront sans ballon ni adversaires… « On jouera pour de faux, mais on s’y croirait déjà ! On s’entraîne comme des pros… », souffle l’un d’eux, en foulant la pelouse gorgée d’eau et de lumière comme s’il arpentait une scène théâtrale. Recrutés par Massimo Furlan, artiste et metteur en scène, 14 volontaires rejoueront sur le terrain, le samedi 2 juin, le match mythique France-RFA, disputé à Séville, en demi-finale du Mondial espagnol, le 8 juillet 1982. 


Ces bénévoles, hommes et femmes, âgés de 23 à 67 ans, incarneront chacun un joueur de l’équipe de France, dont ils reproduiront avec fidélité les courses…

Alerte sur la maltraitance financière des seniors

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En ce jour de printemps, les psychologues du 3977, le numéro national d’appel contre la maltraitance des personnes âgées et handicapées, reçoivent un coup de fil d’Yvonne. Celle-ci raconte que son fils lui a subtilisé sa carte de crédit. Résultat, depuis plusieurs jours, la vieille dame ne se nourrit plus qu’avec des conserves qu’elle récupère au fond de ses placards. Plus tard, François, 50 ans, appelle pour sa mère. Il est inquiet. La banque de cette dernière l’a alerté qu’en quelques jours trois fois 100€ avaient été ponctionnés sur son compte bancaire. « Qui a fait ces prélèvements ?, s’interroge-t-il. La femme de ménage ? Un des neveux ? »


De tels cas de maltraitance financière sont de plus en plus fréquents. Ils représentent la moitié des appels reçus par le 3977 en 2017. Une tendance qui n’ira pas en s’amenuisant avec l’allongement de la durée de vie. En 2050, selon l’Insee, un Français sur trois sera âgé de 60 ans ou plus…

Cultiver sa foi sous d’autres latitudes

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« Paradoxalement, on se sent fortifié dans la foi chrétienne en pays shinto, bouddhiste ou animiste », observe Claire Salles, expatriée depuis 11 ans en Asie et en Afrique avec sa famille. Pour la profession de foi de son fils Amaury à Shanghai, personne n’a pu venir : ni son parrain, ni sa marraine, ni les grands-parents. Loin de France, on oublie le gros repas et les figures imposées… Dans des pays où le catholicisme est minoritaire, transmettre la foi à ses enfants renvoie les parents à leurs valeurs hors de tout conditionnement social ou familial.


Démarche volontaire


Pour les pratiquants, l’éloignement confère encore plus de relief aux sacrements, comme en témoigne Sophie Bellemin, dont les enfants sont catéchisés à Hongkong : « Pour les fêtes de la foi, on sera tous les sept, et puis c’est tout. Ça recentre sur l’essentiel. » Claire abonde : « On vit et on prépare les sacrements intensément. » Pour la confirmation de…

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Démarche volontaire


Pour les pratiquants, l’éloignement confère encore plus de relief aux sacrements, comme en témoigne Sophie Bellemin, dont les enfants sont catéchisés à Hongkong : « Pour les fêtes de la foi, on sera tous les sept, et puis c’est tout. Ça recentre sur l’essentiel. » Claire abonde : « On vit et on prépare les sacrements intensément. » Pour la confirmation de…

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Pour les pratiquants, l’éloignement confère encore plus de relief aux sacrements, comme en témoigne Sophie Bellemin, dont les enfants sont catéchisés à Hongkong : « Pour les fêtes de la foi, on sera tous les sept, et puis c’est tout. Ça recentre sur l’essentiel. » Claire abonde : « On vit et on prépare les sacrements intensément. » Pour la confirmation de…

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