Ces grands-parents nommés “tiers dignes de confiance“

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Elle arrive comme un courant d’air frais, joliment apprêtée, avant de se poser dans un soupir. « J’atteins la limite. On venait enfin de trouver un apprentissage en cuisine pour mon petit-fils, après son parcours scolaire loin d’être parfait. Mais dès son premier jour, il n’a rien trouvé de mieux que de se “croûter”, comme il dit, sur le scooter qu’on lui a acheté. Je l’aime ce gamin, mais à mon âge… j’aspirais réellement à autre chose qu’avoir à gérer un ado à temps plein ! »


Luce, 62 ans, a la charge quotidienne d’Hugo, 16 ans, le fils de son fils resté à Madagascar ; à sa demande et sur décision du juge des enfants, elle est son « tiers digne de confiance » depuis 2008. Un statut prévu par le Code civil (article 375-3) pourtant méconnu et peu soutenu en France, où jusqu’à présent le recours à l’environnement proche de l’enfant – grands-parents, oncles et tantes, beaux-parents, parrains et marraines, adultes du voisinage… – comme…

Une école enfin à l’écoute des enfants sourds

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« Quand vous étiez bébé, vous appreniez comment à parler ? » « En entendant la télévision, comment vous pouvez imaginer les choses ? » « Au téléphone, vous faites comment pour vous parler sans utiliser les sms ? » « Avez-vous déjà eu envie d’entendre ? »…  Ils s’appellent Gaëtan, Zoé, Sean, Diego, Eleanore… ils ont 9 et 10 ans, certains sont sourds, d’autres pas. Scolarisés à l’école Jean-Jaurès de Ramonville, près de Toulouse (Haute-Garonne), en CM1 et CM2, ils participent au premier atelier de l’année en « activité partagée ». Il s’agit de faire connaissance, pour les uns avec le monde des sourds, pour les autres avec celui des entendants. 


Devant le tableau, les questions fusent, chacun s’exprime à haute voix ou en signant (en utilisant la LSF, ou langue des signes française). À côté des enfants sourds, un interprète traduit les propos échangés. Les deux univers se rencontrent pendant une heure. Puis les écoliers repartent dans leurs salles respectives, les uns pour un cours d’histoire en français oral, les autres en LSF. La semaine suivante, « l’activité partagée » portera sur les arts plastiques. 


D’ici là, ils se retrouveront à la récréation, en gymnastique, à la cantine, se croiseront dans les couloirs, mais aussi lors des classes découvertes et dans le cadre de la réalisation de leur film sur la préhistoire. « Un mélange très riche d’échanges », signe avec un large sourire Josie, maman sourde de trois élèves adolescentes. « Nos enfants s’ouvrent ainsi au monde. »

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« Quand vous étiez bébé, vous appreniez comment à parler ? » « En entendant la télévision, comment vous pouvez imaginer les choses ? » « Au téléphone, vous faites comment pour vous parler sans utiliser les sms ? » « Avez-vous déjà eu envie d’entendre ? »…  Ils s’appellent Gaëtan, Zoé, Sean, Diego, Eleanore… ils ont 9 et 10 ans, certains sont sourds, d’autres pas. Scolarisés à l’école Jean-Jaurès de Ramonville, près de Toulouse (Haute-Garonne), en CM1 et CM2, ils participent au premier atelier de l’année en « activité partagée ». Il s’agit de faire connaissance, pour les uns avec le monde des sourds, pour les autres avec celui des entendants. 


Devant le tableau, les questions fusent, chacun s’exprime à haute voix ou en signant (en utilisant la LSF, ou langue des signes française). À côté des enfants sourds, un interprète traduit les propos échangés. Les deux univers se rencontrent pendant une heure. Puis les écoliers repartent dans leurs salles respectives, les uns pour un cours d’histoire en français oral, les autres en LSF. La semaine suivante, « l’activité partagée » portera sur les arts plastiques. 


D’ici là, ils se retrouveront à la récréation, en gymnastique, à la cantine, se croiseront dans les couloirs, mais aussi lors des classes découvertes et dans le cadre de la réalisation de leur film sur la préhistoire. « Un mélange très riche d’échanges », signe avec un large sourire Josie, maman sourde de trois élèves adolescentes. « Nos enfants s’ouvrent ainsi au monde. »

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« Quand vous étiez bébé, vous appreniez comment à parler ? » « En entendant la télévision, comment vous pouvez imaginer les choses ? » « Au téléphone, vous faites comment pour vous parler sans utiliser les sms ? » « Avez-vous déjà eu envie d’entendre ? »…  Ils s’appellent Gaëtan, Zoé, Sean, Diego, Eleanore… ils ont 9 et 10 ans, certains sont sourds, d’autres pas. Scolarisés à l’école Jean-Jaurès de Ramonville, près de Toulouse (Haute-Garonne), en CM1 et CM2, ils participent au premier atelier de l’année en « activité partagée ». Il s’agit de faire connaissance, pour les uns avec le monde des sourds, pour les autres avec celui des entendants. 


Devant le tableau, les questions fusent, chacun s’exprime à haute voix ou en signant (en utilisant la LSF, ou langue des signes française). À côté des enfants sourds, un interprète traduit les propos échangés. Les deux univers se rencontrent pendant une heure. Puis les écoliers repartent dans leurs salles respectives, les uns pour un cours d’histoire en français oral, les autres en LSF. La semaine suivante, « l’activité partagée » portera sur les arts plastiques. 


D’ici là, ils se retrouveront à la récréation, en gymnastique, à la cantine, se croiseront dans les couloirs, mais aussi lors des classes découvertes et dans le cadre de la réalisation de leur film sur la préhistoire. « Un mélange très riche d’échanges », signe avec un large sourire Josie, maman sourde de trois élèves adolescentes. « Nos enfants s’ouvrent ainsi au monde. »

La méditation pour changer l’entreprise

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Méditer pour lutter contre la souffrance et le stress au travail. De plus en plus d’entreprises s’y mettent et encouragent leurs salariés à y recourir. Dans le même temps, certaines écoles de manager s’en emparent. Alors, assiste-t-on à une opération marketing ou aux prémices d’un changement managérial d’ampleur ? 


Auprès des DRH et des cadres, le recours de plus en plus fréquent à la pleine conscience – une technique de méditation mise au point aux États-Unis il y a une trentaine d’années par le Dr Jon Kabat-Zinn, sous le nom de « Mindfulness » – interroge. Serait-elle la nouvelle panacée face aux conditions de travail dégradées dans l’entreprise, les pressions accrues et l’accélération des mutations ? 


« Au vu de son succès dans la Silicon Valley, on bénéficie d’un effet de mode. Chacun y va de sa cuisine et le risque est réel que beaucoup ne la pratiquent que pour le contrôle de soi et des autres »,…

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Devant le tableau, les questions fusent, chacun s’exprime à haute voix ou en signant (en utilisant la LSF, ou langue des signes française). À côté des enfants sourds, un interprète traduit les propos échangés. Les deux univers se rencontrent pendant une heure. Puis les écoliers repartent dans leurs salles respectives, les uns pour un cours d’histoire en français oral, les autres en LSF. La semaine suivante, « l’activité partagée » portera sur les arts plastiques. 


D’ici là, ils se retrouveront à la récréation, en gymnastique, à la cantine, se croiseront dans les couloirs, mais aussi lors des classes découvertes et dans le cadre de la réalisation de leur film sur la préhistoire. « Un mélange très riche d’échanges », signe avec un large sourire Josie, maman sourde de trois élèves adolescentes. « Nos enfants s’ouvrent ainsi au monde. »

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Méditer pour lutter contre la souffrance et le stress au travail. De plus en plus d’entreprises s’y mettent et encouragent leurs salariés à y recourir. Dans le même temps, certaines écoles de manager s’en emparent. Alors, assiste-t-on à une opération marketing ou aux prémices d’un changement managérial d’ampleur ? 


Auprès des DRH et des cadres, le recours de plus en plus fréquent à la pleine conscience – une technique de méditation mise au point aux États-Unis il y a une trentaine d’années par le Dr Jon Kabat-Zinn, sous le nom de « Mindfulness » – interroge. Serait-elle la nouvelle panacée face aux conditions de travail dégradées dans l’entreprise, les pressions accrues et l’accélération des mutations ? 


« Au vu de son succès dans la Silicon Valley, on bénéficie d’un effet de mode. Chacun y va de sa cuisine et le risque est réel que beaucoup ne la pratiquent que pour le contrôle de soi et des autres »,…

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Devant le tableau, les questions fusent, chacun s’exprime à haute voix ou en signant (en utilisant la LSF, ou langue des signes française). À côté des enfants sourds, un interprète traduit les propos échangés. Les deux univers se rencontrent pendant une heure. Puis les écoliers repartent dans leurs salles respectives, les uns pour un cours d’histoire en français oral, les autres en LSF. La semaine suivante, « l’activité partagée » portera sur les arts plastiques. 


D’ici là, ils se retrouveront à la récréation, en gymnastique, à la cantine, se croiseront dans les couloirs, mais aussi lors des classes découvertes et dans le cadre de la réalisation de leur film sur la préhistoire. « Un mélange très riche d’échanges », signe avec un large sourire Josie, maman sourde de trois élèves adolescentes. « Nos enfants s’ouvrent ainsi au monde. »

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Auprès des DRH et des cadres, le recours de plus en plus fréquent à la pleine conscience – une technique de méditation mise au point aux États-Unis il y a une trentaine d’années par le Dr Jon Kabat-Zinn, sous le nom de « Mindfulness » – interroge. Serait-elle la nouvelle panacée face aux conditions de travail dégradées dans l’entreprise, les pressions accrues et l’accélération des mutations ? 


« Au vu de son succès dans la Silicon Valley, on bénéficie d’un effet de mode. Chacun y va de sa cuisine et le risque est réel que beaucoup ne la pratiquent que pour le contrôle de soi et des autres »,…

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Devant le tableau, les questions fusent, chacun s’exprime à haute voix ou en signant (en utilisant la LSF, ou langue des signes française). À côté des enfants sourds, un interprète traduit les propos échangés. Les deux univers se rencontrent pendant une heure. Puis les écoliers repartent dans leurs salles respectives, les uns pour un cours d’histoire en français oral, les autres en LSF. La semaine suivante, « l’activité partagée » portera sur les arts plastiques. 


D’ici là, ils se retrouveront à la récréation, en gymnastique, à la cantine, se croiseront dans les couloirs, mais aussi lors des classes découvertes et dans le cadre de la réalisation de leur film sur la préhistoire. « Un mélange très riche d’échanges », signe avec un large sourire Josie, maman sourde de trois élèves adolescentes. « Nos enfants s’ouvrent ainsi au monde. »