“Nous ne sommes pas maîtres de notre bien-être au travail“

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La bienveillance au travail est-elle possible ?


Dans de nombreuses entreprises, les employés ne sont plus que des rouages. Y compris les cadres, devenus des exécutants, quand les leviers de pouvoir sont de plus en plus distants. Un management soi-disant centré sur la personne masque souvent que les problèmes sont institutionnels. Sous prétexte que chacun doive gérer ses émotions, ne pas se laisser envahir, on fait peser une responsabilité individuelle sur les personnes. S’il existe un management bienveillant, il doit s’intéresser aux conditions collectives de vie au travail.


Mais ces conditions de travail ne risquent pas de s’améliorer, dans un contexte de crise économique…


Dans mon ouvrage, je cite l’exemple de l’hôpital tant il est emblématique. Les hôpitaux étaient tenus par des religieuses dévouées et non rémunérées. Aujourd’hui, il n’y a plus ni religieux ni prospérité. La baisse des effectifs et…

Quand le cinéma raconte l’enfance

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Une longue chenille bleue nous accueille, tout droit sortie d’Alice au Pays des merveilles, offrant ses bosses comme des sièges pour les plus petits. Sur un écran défilent des extraits de Mon voisin Totoro, de Zazie dans le métro ou encore de l’Argent de poche. Les murs sont bleus ou verts et nous sommes dans le territoire de la joie et de la colère. Ces émotions de l’enfance que nous fait revisiter cette exposition de la…

En famille, apprendre à encadrer les écrans

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Au secours, ils sont partout : au travail, à la maison, dans le salon et jusque dans notre poche ! Les écrans, qui prennent des formes diverses, nous ont bel et bien envahis. Dès le plus jeune âge, les enfants y sont rivés, captivés par leur pouvoir hypnotique, accros aux animations sur YouTube et autres applications ludiques ou (prétendues) pédagogiques. En 5e, la plupart des élèves ont un téléphone, souvent un forfait de base sans 3G. Puis le lycée marque le passage progressif au Smartphone. Aujourd’hui, 77% des Français détiennent un Smartphone. Selon le sondage Deloitte réalisé en janvier, nous le consultons en moyenne 26 fois par jour… Et pour les jeunes âgés de 18 à 24 ans, ce chiffre s’élève à 50 fois par jour !


« J’ai un ordinateur personnel depuis deux ans, un téléphone et une tablette », détaille Eugénie, Lyonnaise de 15 ans, qui estime passer environ cinq heures par jour derrière un…

Comment parler politique avec ses enfants ?

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Certains gardent un souvenir douloureux des discussions politiques des adultes, capables d’envenimer un repas familial. Jusqu’à en faire un sujet tabou. Le dialogue en la matière est pourtant fondamental ; il nécessite le respect de la parole et du positionnement de chacun. « Quand on reste ouvert, l’enfant peut se raconter, être lui-même, avoir ses idées, ses opinions », indique la psychologue ­Bénédicte Merle du Bourg.


« Pour qui tu votes ? Pourquoi tu es de gauche ou de droite ? » Avec leurs questions, les enfants ont parfois l’art de nous prendre au dépourvu. « Il faut leur répondre et préciser que c’est une opinion personnelle, parfois héritée de sa famille mais forgée par sa propre expérience, suggère la psychothérapeute. Si le parent est hésitant ou s’il n’a pas…

Passer une année en immersion à l’étranger

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Cette année, Erasmus a 30 ans. Ceux qui ne l’ont pas testé connaissent ce programme européen grâce à Xavier, le personnage incarné à l’écran en 2002 par Romain Duris dans l’Auberge espagnole, de Cédric Klapisch. Rebaptisé Erasmus+ et ouvert notamment aux apprentis, le dispositif repose sur des accords entre établissements de formation, qui permettent de poursuivre son cursus dans un autre pays pendant un an.


L’idée, d’abord marginale, d’aller étudier à l’étranger semble s’enraciner de plus en plus dans l’esprit des jeunes. Ainsi, en 2016, un étudiant français sur trois avait déjà bénéficié d’une expérience hors des frontières. Et ce chiffre ne tient pas compte de tous ceux qui partent hors cursus : chantiers humanitaires, petits boulots, volontariat, etc. Depuis 2015, les étudiants à l’université peuvent faire une « année de césure » pendant leur cursus, et consacrer un ou deux semestres à un autre projet, ce qui devrait encore faciliter ces…

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Cette année, Erasmus a 30 ans. Ceux qui ne l’ont pas testé connaissent ce programme européen grâce à Xavier, le personnage incarné à l’écran en 2002 par Romain Duris dans l’Auberge espagnole, de Cédric Klapisch. Rebaptisé Erasmus+ et ouvert notamment aux apprentis, le dispositif repose sur des accords entre établissements de formation, qui permettent de poursuivre son cursus dans un autre pays pendant un an.


L’idée, d’abord marginale, d’aller étudier à l’étranger semble s’enraciner de plus en plus dans l’esprit des jeunes. Ainsi, en 2016, un étudiant français sur trois avait déjà bénéficié d’une expérience hors des frontières. Et ce chiffre ne tient pas compte de tous ceux qui partent hors cursus : chantiers humanitaires, petits boulots, volontariat, etc. Depuis 2015, les étudiants à l’université peuvent faire une « année de césure » pendant leur cursus, et consacrer un ou deux semestres à un autre projet, ce qui devrait encore faciliter ces…

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Cette année, Erasmus a 30 ans. Ceux qui ne l’ont pas testé connaissent ce programme européen grâce à Xavier, le personnage incarné à l’écran en 2002 par Romain Duris dans l’Auberge espagnole, de Cédric Klapisch. Rebaptisé Erasmus+ et ouvert notamment aux apprentis, le dispositif repose sur des accords entre établissements de formation, qui permettent de poursuivre son cursus dans un autre pays pendant un an.


L’idée, d’abord marginale, d’aller étudier à l’étranger semble s’enraciner de plus en plus dans l’esprit des jeunes. Ainsi, en 2016, un étudiant français sur trois avait déjà bénéficié d’une expérience hors des frontières. Et ce chiffre ne tient pas compte de tous ceux qui partent hors cursus : chantiers humanitaires, petits boulots, volontariat, etc. Depuis 2015, les étudiants à l’université peuvent faire une « année de césure » pendant leur cursus, et consacrer un ou deux semestres à un autre projet, ce qui devrait encore faciliter ces…

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Cette année, Erasmus a 30 ans. Ceux qui ne l’ont pas testé connaissent ce programme européen grâce à Xavier, le personnage incarné à l’écran en 2002 par Romain Duris dans l’Auberge espagnole, de Cédric Klapisch. Rebaptisé Erasmus+ et ouvert notamment aux apprentis, le dispositif repose sur des accords entre établissements de formation, qui permettent de poursuivre son cursus dans un autre pays pendant un an.


L’idée, d’abord marginale, d’aller étudier à l’étranger semble s’enraciner de plus en plus dans l’esprit des jeunes. Ainsi, en 2016, un étudiant français sur trois avait déjà bénéficié d’une expérience hors des frontières. Et ce chiffre ne tient pas compte de tous ceux qui partent hors cursus : chantiers humanitaires, petits boulots, volontariat, etc. Depuis 2015, les étudiants à l’université peuvent faire une « année de césure » pendant leur cursus, et consacrer un ou deux semestres à un autre projet, ce qui devrait encore faciliter ces…

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Cette année, Erasmus a 30 ans. Ceux qui ne l’ont pas testé connaissent ce programme européen grâce à Xavier, le personnage incarné à l’écran en 2002 par Romain Duris dans l’Auberge espagnole, de Cédric Klapisch. Rebaptisé Erasmus+ et ouvert notamment aux apprentis, le dispositif repose sur des accords entre établissements de formation, qui permettent de poursuivre son cursus dans un autre pays pendant un an.


L’idée, d’abord marginale, d’aller étudier à l’étranger semble s’enraciner de plus en plus dans l’esprit des jeunes. Ainsi, en 2016, un étudiant français sur trois avait déjà bénéficié d’une expérience hors des frontières. Et ce chiffre ne tient pas compte de tous ceux qui partent hors cursus : chantiers humanitaires, petits boulots, volontariat, etc. Depuis 2015, les étudiants à l’université peuvent faire une « année de césure » pendant leur cursus, et consacrer un ou deux semestres à un autre projet, ce qui devrait encore faciliter ces…

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Cette année, Erasmus a 30 ans. Ceux qui ne l’ont pas testé connaissent ce programme européen grâce à Xavier, le personnage incarné à l’écran en 2002 par Romain Duris dans l’Auberge espagnole, de Cédric Klapisch. Rebaptisé Erasmus+ et ouvert notamment aux apprentis, le dispositif repose sur des accords entre établissements de formation, qui permettent de poursuivre son cursus dans un autre pays pendant un an.


L’idée, d’abord marginale, d’aller étudier à l’étranger semble s’enraciner de plus en plus dans l’esprit des jeunes. Ainsi, en 2016, un étudiant français sur trois avait déjà bénéficié d’une expérience hors des frontières. Et ce chiffre ne tient pas compte de tous ceux qui partent hors cursus : chantiers humanitaires, petits boulots, volontariat, etc. Depuis 2015, les étudiants à l’université peuvent faire une « année de césure » pendant leur cursus, et consacrer un ou deux semestres à un autre projet, ce qui devrait encore faciliter ces…