À 60, 70, 80, 90 ans et plus… Garder son élan vital

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Depuis trois ans, Jean-Claude, notre confrère journaliste, songe à son départ à la retraite. En 2017, il lui manquait quelques trimestres pour franchir le pas, et surtout il ne se sentait pas prêt. Après plusieurs mois d’hésitation, cette fois il est décidé. Ce sera pour octobre 2019, il aura alors 64 ans. Ses enfants de 24 et 30 ans sont désormais autonomes et sa femme sera elle aussi à la retraite en 2020. 


Il a fait ses calculs : « Je toucherai un peu moins de la moitié de mon salaire actuel, mais comme toute ma vie j’ai professé des valeurs de décroissance, c’est le moment de les appliquer ! », confie-t-il en souriant. Ses prochains revenus avoisineront le niveau de vie médian des retraités en France (1 760 € par mois en 2015, selon les chiffres publiés en 2018 par la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques). Ce qui lui permet d’appréhender l’avenir sereinement sur le plan financier. En…

La baie d’Authie à dos de Henson

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Au pas, les montures se faufilent entre les dunes blanches qui moutonnent en bordure de la baie d’Authie. Juché sur sa selle, le cavalier bourlingue, presque paresseusement, dans une étincelante étendue de dômes de sable, barbouillés dans leurs plis par les feuillages des aubépines et des argousiers. La piste, marquée par l’empreinte des sabots, ondule entre ces calottes luisantes, balayées par les longues herbes des oyats, le chiendent marin, qui frémissent comme des crins plantés dans les buttes sablonneuses. Somptueux, aveuglant, le paysage devient sublime lorsque la colonne des chevaux Henson, après avoir vaincu un court raidillon, franchit les plus hautes dunes et surplombe soudain le rivage désertique, l’horizon mauve… En cette fin d’après-midi, sous l’escorte de Florence et Fabien, les moniteurs de l’espace équestre Henson L’Étrier, à Fort-Mahon-Plage, une dizaine de cavaliers, débutants ou initiés, découvrent lors d’une balade les beautés secrètes de la baie d’Authie,…

Le rangement, c’est maintenant

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Pour Jennifer, la prise de conscience est venue à la naissance de sa seconde fille : « J’avais tout acheté pour l’aînée, avant de comprendre qu’un bébé avait seulement besoin de lait, d’un doudou et de couches ! J’ai éprouvé un ras-le-bol de la surconsommation. » Cette hôtesse de l’air de 35 ans a alors appris à se détacher du matériel et revu ses réflexes. Sa démarche s’inscrit aussi dans une sensibilisation à l’environnement : « Je ne supporte plus ce qui est industriel et de masse. » Elle a réduit l’utilisation de produits d’entretien chimiques, se tourne vers une alimentation et des cosmétiques plus naturels. Elle revend beaucoup, notamment sur le Bon Coin, n’achète pour elle-même que des vêtements de seconde main, sur Vinted, chez Emmaüs ou dans des brocantes. « Je ne veux plus être étouffée par les objets. »


« objectif : sortir un carton par jour »


Un virage symptomatique, qui rejoint l’art de vivre…

Le rangement, c’est maintenant

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Pour Jennifer, la prise de conscience est venue à la naissance de sa seconde fille : « J’avais tout acheté pour l’aînée, avant de comprendre qu’un bébé avait seulement besoin de lait, d’un doudou et de couches ! J’ai éprouvé un ras-le-bol de la surconsommation. » Cette hôtesse de l’air de 35 ans a alors appris à se détacher du matériel et revu ses réflexes. Sa démarche s’inscrit aussi dans une sensibilisation à l’environnement : « Je ne supporte plus ce qui est industriel et de masse. » Elle a réduit l’utilisation de produits d’entretien chimiques, se tourne vers une alimentation et des cosmétiques plus naturels. Elle revend beaucoup, notamment sur le Bon Coin, n’achète pour elle-même que des vêtements de seconde main, sur Vinted, chez Emmaüs ou dans des brocantes. « Je ne veux plus être étouffée par les objets. »


« objectif : sortir un carton par jour »


Un virage symptomatique, qui rejoint l’art de vivre…

Le rangement, c’est maintenant

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Pour Jennifer, la prise de conscience est venue à la naissance de sa seconde fille : « J’avais tout acheté pour l’aînée, avant de comprendre qu’un bébé avait seulement besoin de lait, d’un doudou et de couches ! J’ai éprouvé un ras-le-bol de la surconsommation. » Cette hôtesse de l’air de 35 ans a alors appris à se détacher du matériel et revu ses réflexes. Sa démarche s’inscrit aussi dans une sensibilisation à l’environnement : « Je ne supporte plus ce qui est industriel et de masse. » Elle a réduit l’utilisation de produits d’entretien chimiques, se tourne vers une alimentation et des cosmétiques plus naturels. Elle revend beaucoup, notamment sur le Bon Coin, n’achète pour elle-même que des vêtements de seconde main, sur Vinted, chez Emmaüs ou dans des brocantes. « Je ne veux plus être étouffée par les objets. »


« objectif : sortir un carton par jour »


Un virage symptomatique, qui rejoint l’art de vivre…

Le rangement, c’est maintenant

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Pour Jennifer, la prise de conscience est venue à la naissance de sa seconde fille : « J’avais tout acheté pour l’aînée, avant de comprendre qu’un bébé avait seulement besoin de lait, d’un doudou et de couches ! J’ai éprouvé un ras-le-bol de la surconsommation. » Cette hôtesse de l’air de 35 ans a alors appris à se détacher du matériel et revu ses réflexes. Sa démarche s’inscrit aussi dans une sensibilisation à l’environnement : « Je ne supporte plus ce qui est industriel et de masse. » Elle a réduit l’utilisation de produits d’entretien chimiques, se tourne vers une alimentation et des cosmétiques plus naturels. Elle revend beaucoup, notamment sur le Bon Coin, n’achète pour elle-même que des vêtements de seconde main, sur Vinted, chez Emmaüs ou dans des brocantes. « Je ne veux plus être étouffée par les objets. »


« objectif : sortir un carton par jour »


Un virage symptomatique, qui rejoint l’art de vivre…

Le rangement, c’est maintenant

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Pour Jennifer, la prise de conscience est venue à la naissance de sa seconde fille : « J’avais tout acheté pour l’aînée, avant de comprendre qu’un bébé avait seulement besoin de lait, d’un doudou et de couches ! J’ai éprouvé un ras-le-bol de la surconsommation. » Cette hôtesse de l’air de 35 ans a alors appris à se détacher du matériel et revu ses réflexes. Sa démarche s’inscrit aussi dans une sensibilisation à l’environnement : « Je ne supporte plus ce qui est industriel et de masse. » Elle a réduit l’utilisation de produits d’entretien chimiques, se tourne vers une alimentation et des cosmétiques plus naturels. Elle revend beaucoup, notamment sur le Bon Coin, n’achète pour elle-même que des vêtements de seconde main, sur Vinted, chez Emmaüs ou dans des brocantes. « Je ne veux plus être étouffée par les objets. »


« objectif : sortir un carton par jour »


Un virage symptomatique, qui rejoint l’art de vivre…

Le rangement, c’est maintenant

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Pour Jennifer, la prise de conscience est venue à la naissance de sa seconde fille : « J’avais tout acheté pour l’aînée, avant de comprendre qu’un bébé avait seulement besoin de lait, d’un doudou et de couches ! J’ai éprouvé un ras-le-bol de la surconsommation. » Cette hôtesse de l’air de 35 ans a alors appris à se détacher du matériel et revu ses réflexes. Sa démarche s’inscrit aussi dans une sensibilisation à l’environnement : « Je ne supporte plus ce qui est industriel et de masse. » Elle a réduit l’utilisation de produits d’entretien chimiques, se tourne vers une alimentation et des cosmétiques plus naturels. Elle revend beaucoup, notamment sur le Bon Coin, n’achète pour elle-même que des vêtements de seconde main, sur Vinted, chez Emmaüs ou dans des brocantes. « Je ne veux plus être étouffée par les objets. »


« objectif : sortir un carton par jour »


Un virage symptomatique, qui rejoint l’art de vivre…

Le rangement, c’est maintenant

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Pour Jennifer, la prise de conscience est venue à la naissance de sa seconde fille : « J’avais tout acheté pour l’aînée, avant de comprendre qu’un bébé avait seulement besoin de lait, d’un doudou et de couches ! J’ai éprouvé un ras-le-bol de la surconsommation. » Cette hôtesse de l’air de 35 ans a alors appris à se détacher du matériel et revu ses réflexes. Sa démarche s’inscrit aussi dans une sensibilisation à l’environnement : « Je ne supporte plus ce qui est industriel et de masse. » Elle a réduit l’utilisation de produits d’entretien chimiques, se tourne vers une alimentation et des cosmétiques plus naturels. Elle revend beaucoup, notamment sur le Bon Coin, n’achète pour elle-même que des vêtements de seconde main, sur Vinted, chez Emmaüs ou dans des brocantes. « Je ne veux plus être étouffée par les objets. »


« objectif : sortir un carton par jour »


Un virage symptomatique, qui rejoint l’art de vivre…

À Saint-Malo, un trésor sous les flots

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L’ancre est mouchetée de rouille, comme si ses crocs de fer étaient recouverts par la patine des siècles. Lorsque le vestige apparaît enfin, posé sur un fond d’algues et de sable clair, après quelques minutes de plongée dans la baie de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), l’impression de s’être glissé dans un rêve d’enfance étreint le novice, subjugué. Il en faut peu pour s’imaginer intrépide chasseur d’épaves : d’abord, un soupçon de hardiesse pour s’immerger un matin d’avril dans l’estuaire de la Rance, à une profondeur de près de 10 m à marée haute ; ensuite, l’escorte attentive et bienveillante d’un moniteur de plongée sous-marine pour accompagner l’apprenti dans sa descente aux abysses – ce jour-là, Anthony Rouault, moniteur du centre Bleu Émeraude.


Après avoir approché, à bord d’une embarcation, le somptueux site du rocher de Bizeux, tout le reste coule de source… Dans un silence ouaté, troublé seulement par le crachouillis des bulles d’air qui…