« Tout ce qui est à moi est à toi. » C’est sur ce principe que Bernard et Marie-Jeanne ont scellé leur union en 1965. Le pacte tient toujours, 51 ans plus tard. « J’ai dirigé pendant 45 ans l’entreprise de maçonnerie héritée de mon père », témoigne Monsieur. Madame, elle, a travaillé dix ans dans l’immobilier avant d’arrêter, à la naissance de leur premier enfant. « S’occuper d’une maison est un boulot à temps plein », reconnaît le retraité, âgé de 73 ans. « Il aurait été injuste de partager les frais en deux. Quand on est marié, c’est pour le meilleur et pour le pire, non ? »
Comme ces Ardéchois, 63% des ménages…
Cet article est réservé aux abonnés de La Vie, afin de le lire
ABONNEZ-VOUS
4€/mois SANS ENGAGEMENT
Accédez à des contenus numériques exclusivement réservés aux abonnés ainsi qu’à vos numéros en version PDF sur ordinateur, smartphone et tablette.