Science & Vie TV – Quel est le virus le plus dangereux du monde ?

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A l’heure où le virus Zika menace la planète, Caroline Tourbe, journaliste au magazine Science & Vie, raconte à Jérôme Bonaldi à quoi ressemble le virus le plus dangereux du monde. Enfermé dans un laboratoire aux Etats-Unis, ce virus de la grippe aviaire  génétiquement modifié pour pouvoir infecter l’homme est au coeur d’une controverse dans le milieu scientifique.

 

 

Pour en savoir plus, retrouvez l’article dans Les Grandes Archives de Science & Vie :

Rencontre avec le virus le plus dangereux du monde, par Yves Sciama, dans Science & Vie n°1174.

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La Lune vue par la sonde Chang’e 3 et le robot Yutu

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Le petit robot Yutu a parcouru quelques dizaines de mètres à la surface de la Lune, non loin de la sonde Chang'e 3. CNSA/Emily Lakdawalla.

Le petit robot Yutu a parcouru quelques dizaines de mètres à la surface de la Lune, non loin de la sonde Chang’e 3. CNSA/Emily Lakdawalla.

En posant sur la Lune sa sonde Chang’e 3 et son petit robot mobile Yutu, le 14 décembre 2013, la Chine est entrée dans le club très fermé des puissances spatiales capables d’explorer d’autres mondes : les États-Unis, la Russie, l’Europe, le Japon et l’Inde. Ce programme au long cours vise, à terme, le retour sur Terre d’échantillons et, plus tard peut-être, la marche d’astronautes chinois dans la cendre lunaire.

La sonde Chang'e 3 s'est posée en décembre 2013 en bordure de la mer des Pluies : le site d'alunissage est marqué sur ces images par un petit drapeau chinois. Photos S.Brunier/Nasa.

La sonde Chang’e 3 s’est posée en décembre 2013 en bordure de la mer des Pluies : le site d’alunissage est marqué sur ces images par un petit drapeau chinois. Photos S.Brunier/Nasa.

En attendant, l’agence spatiale chinoise (CNSA) a rendu publiques les données transmises par Chang’e 3 et Yutu. Les deux engins ont longuement photographié la surface lunaire, dans la mer des Pluies où ils se sont posés.

Les images transmises par Chang'e 3 et Yutu n'ont rien à envier aux photographies prises entre 1969 et 1972 par les douze astronautes américaines qui ont marché sur la Lune. Photo CNSA/Emily Lakdawalla.

Les images transmises par Chang’e 3 et Yutu n’ont rien à envier aux photographies prises entre 1969 et 1972 par les douze astronautes américains qui ont marché sur la Lune. Photo CNSA/Emily Lakdawalla.

Ces images, traitées par la planétologue américaine Emily Lakdawalla, sont saisissantes, et n’ont rien à envier aux photographies prises voici un demi siècle ou presque par les douze astronautes des missions Apollo.

La sonde Chang'e 3, photographiée par le robot mobile Yutu. CNSA/Emily Lakdawalla.

La sonde Chang’e 3, photographiée par le robot mobile Yutu. CNSA/Emily Lakdawalla.

Si, désormais, Chang’e 3 et Yutu ne transmettent plus d’images, ces paysages austères – la « magnifique désolation » évoquée par Buzz Aldrin en juillet 1969 – font patienter les planétologues jusqu’à la prochaine mission, qui devrait, en 2018, voir pour la première fois une sonde spatiale, Chang’e 5, se poser sur la face cachée de la Lune…
Serge Brunier

 

Le petit robot Yutu a parcouru quelques dizaines de mètres à la surface de la Lune, non loin de la sonde Chang'e 3. CNSA/Emily Lakdawalla.

Le petit robot Yutu a parcouru quelques dizaines de mètres à la surface de la Lune, non loin de la sonde Chang’e 3. CNSA/Emily Lakdawalla.