Pourquoi le bac pro est bien une passerelle vers l’emploi

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> À lire aussi : « Le bac pro est un moyen de s’insérer et de réussir »

 

Après un bac littéraire, quand Thomas Fequant a voulu suivre « (ses) vraies passions », la nature et le jardinage, on lui a conseillé de reprendre des études secondaires en voie professionnelle. Un détour ? Ce jeune patron ne le regrette pas le moins du monde : « Sans mon bac pro en aménagements paysagers, je ne pourrais pas assumer tout ce que je fais aujourd’hui », assure-t-il. Certes, à Tecomah, l’école de la chambre de commerce d’Île-de-France, où il l’a préparé, il a aussi validé un BTS afin d’avoir le maximum de cordes à son arc. Mais c’est bien en bac pro…

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L’animal au secours de l’homme

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> À lire aussi : « La zoothérapie pallie des limites de la médecine »

 

Tous les mardis matin, les résidents de la maison de retraite de Villeneuve-Saint-Georges (94) attendent avec impatience la venue d’Indy pour leur séance de zoothérapie. La chienne golden retriever déambule dans les couloirs, puis rejoint ses partenaires du jour : Lucette et Jacques (les prénoms ont été modifiés). À peine l’animal est-il arrivé à sa hauteur que Lucette le couvre de caresses. « Je vais te piquer à ton maître. Mais il ne serait pas d’accord, il serait malheureux si je te gardais », lance-t-elle dans un éclat de rire en regardant le zoothérapeute Baudouin…

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Des idées pour la mixité sociale à l’école

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Janvier 2015. Quelques jours après la tuerie de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher, de nombreux incidents émaillent la minute de silence observée dans les établissements scolaires. C’est un choc pour la classe politique et la société dans son ensemble : le Premier ministre, Manuel Valls, dénonce l’existence d’un « apartheid territorial, social, ethnique » et, quelques mois plus tard, la ministre de l’Éducation nationale, Najat ­Vallaud-Belkacem, affiche sa volonté d’« en finir avec les collèges ghettos ». Le vocable mobilisé – délibérément outrancier – montre la volonté du politique de dire enfin les choses et de partager un constat avec l’ensemble des parties prenantes.

La mixité sociale à l’école : cela fait…

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