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Après un bac littéraire, quand Thomas Fequant a voulu suivre « (ses) vraies passions », la nature et le jardinage, on lui a conseillé de reprendre des études secondaires en voie professionnelle. Un détour ? Ce jeune patron ne le regrette pas le moins du monde : « Sans mon bac pro en aménagements paysagers, je ne pourrais pas assumer tout ce que je fais aujourd’hui », assure-t-il. Certes, à Tecomah, l’école de la chambre de commerce d’Île-de-France, où il l’a préparé, il a aussi validé un BTS afin d’avoir le maximum de cordes à son arc. Mais c’est bien en bac pro…
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