L’héritage dans la Bible, toute une histoire 

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Dans la comédie italienne d’Edoardo Falcone Tout mais pas ça ! un personnage se plonge dans l’Évangile selon saint Matthieu. Il est vite découragé par l’exposé liminaire : « Généalogie de Jésus-Christ, fils de David, fils d’Abraham : Abraham engendra Isaac ; Isaac engendra Jacob ; Jacob engendra Juda et ses frères ; Juda engendra Pharès et Zara, de Thamar ; Pharès engendra Esrom ; Esrom engendra Aram… »


La Bible elle-même est une gigantesque histoire de familles, souvent recomposées, et parfois très tordues, ce qui assurément les rend sinon sympathiques, du moins assez proches de nous. Cette succession des générations peut quelquefois nous importuner, comme les souvenirs d’un vieil oncle lors d’un trop long déjeuner de famille. Le poids d’une existence, avec ses joies et ses drames, suffit à remplir le cœur de l’être humain. Pourquoi y…

Jacques Arènes : “Dans la fratrie, chacun n’a pas la même part ”

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Johnny Hallyday, Liliane Bettencourt… Pourquoi les affaires d’héritage suscitent-elles autant de passions ?


Elles réactivent des rivalités fraternelles d’enfance qui sont encore vivantes et brûlantes. Parce que ces questions renvoient très rapidement à l’amour donné. Récemment, je regardais une très belle série israélienne, les Shtisel. Cela se passe dans le milieu orthodoxe. Un homme de mon âge vient de perdre sa très vieille maman et se querelle avec son frère revenu d’Anvers pour l’enterrement parce que l’autre a hérité d’un appartement. Ce n’est pas une question d’argent, car il n’en a pas besoin. Mais ressurgit une souffrance de longue date qui n’a jamais été résolue : le frère aîné, qui est resté à Jérusalem pour s’occuper de sa mère, reçoit moins que le cadet, le préféré, parti en Europe faire du commerce. C’est le syndrome du fils aîné de la parabole du fils prodigue. Ce genre de situation est très courant.


S’il y a une telle…

Politique familiale : pourquoi le rapport a-t-il fait “pschitt“ ?

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Désaccord entre les deux co-rapporteurs






Famille : pourquoi Macron revoit sa copie




Un glissement de la politique familiale vers une politique sociale ?





La fin des prestations pour tous entraînerait une économie de 160 millions d’euros. Sur un budget de 12 milliards d’euros pour l’ensemble de la politique familiale, ce n’est pas conséquent.





“Il ne faut pas réduire la politique familiale à une politique sociale“