Olivier de Ladoucette : "La vieillesse est une formidable réserve de vie spirituelle" 

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Vieillir, est-ce une simple question d’âge ?

Pendant longtemps, on s’est basé sur la date de naissance et l’âge du départ à la retraite pour déterminer les frontières de la vieillesse. Ces critères ne sont plus pertinents. Aujourd’hui, on peut très bien avoir un coeur d’athlète à 50 ans et devenir père à 60. Plus que l’âge administratif ou chronologique, c’est l’âge subjectif qui compte. On est vieux à partir du moment où on se résigne à l’être.

Le bonheur attend-il le nombre des années ?

D’après une étude anglo-saxonne publiée en novembre par la revue médicale The Lancet, notre bien-être au cours de la vie suit schématiquement une courbe en U : il est en chute libre à partir de 25 ans, grimpe à nouveau passé 40 ans pour atteindre son paroxysme autour de la soixantaine. En veillant à préserver sa santé le plus longtemps possible, on multiplie bien sûr ses chances de vieillir heureux. Mais cette condition nécessaire n’est pas suffisante….

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