Assassin’s Creed : “Le jeu vidéo peut être plus qu’un simple divertissement“

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Fouiner dans les salles de la bibliothèque d’Alexandrie, avaler la poussière des chars dans l’hippodrome, ou, à la nuit tombée, s’émerveiller devant le faisceau de lumière ambrée qui s’écoule du phare et dore les felouques dans la baie… Le jeu vidéo d’aventure Assassin’s Creed Origins nous convie à une somptueuse rêverie éveillée dans les couleurs cuivrées de l’Égypte antique, que l’on traverse dans les pas des héros, le couple Bayek et Aya ! Pour le 10e anniversaire de cette saga ancrée dans l’Histoire, qui a déjà exploré la Renaissance italienne, la Révolution française ou l’époque victorienne, les démiurges d’Ubisoft Montréal ont accompli un travail pharaonique. Sous la houlette de l’historien Maxime Durand, ils ont reconstitué l’Égypte de Cléopâtre (69 av. J.-C.-30 av. J.-C.), dernière reine de l’époque ptolémaïque, et modélisé avec soin des territoires et des cités : Alexandrie, Siwa, Memphis, Gizeh, mais aussi le delta du Nil, la région de Fayoum…

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