Les mordus du cosmos : pourquoi le ciel fait-il toujours autant rêver ? 

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Laurent Aznar, 50 ans, a grandi le nez en l’air. Et les yeux écarquillés, sous le ciel de Toulouse. « La fascination pour le spatial s’inscrit dans la continuité de l’histoire de l’humanité. Quand l’homme préhistorique a vu un cours d’eau, il a eu envie de le franchir. Puis il a traversé les montagnes et les océans, il a commencé à voler… C’est dans sa nature d’aller voir ce qu’il y a derrière la colline ! », explique avec flamme ce collectionneur d’autographes d’astronautes. Pour lui, c’est une façon de philosopher : « Pouvoir observer la Terre depuis là-haut peut donner une idée de la fragilité de notre planète. Cela permet de comprendre que les frontières n’existent pas et que nous sommes tous embarqués sur le même vaisseau ! » L’un de ses amis, Didier Capdevila, est un autre assoiffé d’horizon. Il vit à Sisteron, dans les Alpes-de-Haute-Provence. 


« Je me souviens du premier vol de la navette Columbia, en…

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