Des asperges à la pointe du naturel

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« Ce sont les limites de l’agriculture conventionnelle et la demande de certains clients qui m’ont poussé à passer au bio, en 2008. Après avoir travaillé dans un lycée agricole, chez un producteur de carottes dans les Landes puis chez un autre, d’asperges, à Béziers, j’étais revenu à la ferme de mon père – ici, à Gannay-sur-Loire, dans la Sologne bourbonnaise (dans l’Allier), où je faisais des asperges. Avec ce légume, le bio me semblait impossible. Mais j’avais une variété dont la plante grillait mi-août, ce qui n’est pas normal du tout. J’ai compris que les pesticides et les insecticides attaquent la cuticule des feuilles et ouvrent des brèches à d’autres maladies… Le cercle vicieux. Pendant deux ans, je me suis formé, j’ai fait des tests, je suis allé voir des confrères dans d’autres régions, j’ai passé du temps…

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