Aider à affronter les vilains tours de la vie

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Assis à côté de Brigitte Le Borgne, présidente d’Astrame France, Matthias colorie son bonhomme d’après les émotions qu’il ressent : noir pour la tristesse, vert pour la colère, rose pour la peur. Sa maman est décédée l’année dernière d’un cancer. Envoyé par la caisse d’allocations familiales qui prend en charge les séances, son père explique en aparté : « Je ne veux pas qu’il s’enferme dans sa tristesse. C’est parfois plus facile d’extérioriser avec un tiers. » Après avoir évalué les signes de souffrance avec les parents (somatisation, agressivité ou abattement, manque de concentration…), l’association propose un protocole de cinq séances de deux heures pour aider l’enfant à relire autrement ce qui s’est passé et ne plus subir. « Ce n’est pas une thérapie, insiste la…

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