A l’école, ils font tomber les barrières

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« Tu veux venir jouer avec nous Théophile ? » L’enfant au visage pâle et aux yeux clairs accepte d’être doucement entraîné par Fatouma, 11 ans. « Il est autiste, glisse-t-elle au passage. Il a parfois du mal à communiquer. J’essaie de parler avec lui, il faut qu’il apprenne. » L’école primaire Saint-Charles, à Paris, en lien avec l’institut médico-éducatif (IME) du quartier, est dite « à pédagogie particulière et personnalisée » et favorise l’inclusion. La mixité repose aussi sur l’internat, qui a accueilli jusqu’à 70 enfants, dont les parents travaillent en horaires décalés ou de nuit, ou boursiers de l’État, ou placés par l’ASE sur ordonnance d’un juge. « Si vous savez à cet âge que vous pouvez être le meilleur ami d’un camarade venu d’ailleurs…

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