Soyez positif, vive

Une attitude positive, l'optimisme, l'espoir, la foi ou pourraient influer sur le cours de la maladie et promouvoir la santé. Nous entendons cela, sans doute à juste titre, que les scientifiques et les médecins sont susceptibles de reconnaître que l'esprit exerce une influence déterminante sur nos ya body.20 ans, le psychologue Oakley Ray professeur de l'Université Vanderbilt a été diagnostiqué avec un cancer du tissu lymphoïde, appelé lymphome. Il fonctionne pour le priver de la rate et il a survécu, contrairement à beaucoup d'autres personnes souffrant de la même affection qui se sont morts. Le professeur Ray, qui a présidé le département de psychologie et de psychiatrie demande alors pourquoi certaines personnes réussissent à vaincre ce cancer alors que d'autres y succombent. Il épluche alors la littérature scientifique et des points à une masse croissante de preuves suggérant la puissance de l'esprit sur le corps. De toute évidence, ces points mettent en évidence l'impact des facteurs psychologiques, sociaux, culturels et même la biochimie et la physiologie du corps humain et, de ce fait, les causes, le développement et l'issue de la maladie. «Nos pensées, nos sentiments, nos croyances et nos espoirs sont rien de plus que l'activité électrique des cellules nerveuses de notre cerveau et chimique. Ainsi, en changeant nos pensées, nous changeons notre cerveau et donc notre biologie, voire notre corps», explique Le professeur Ray. Il croit aussi que le cerveau est la première ligne de défense du corps contre les maladies. "Une attitude positive peut aider les gens deviennent plus optimistes. Cependant, des études ont montré, les gens nous l'espérons ont tendance à présenter des niveaux de stress moins élevés et un système immunitaire plus fort, dit Dr Christina Puchalski, professeur, École de médecine de l'Université George Washington. "Une meilleure compréhension de résister au stress, l'espoir et l'optimisme ont un effet bénéfique sur la santé. Un nouvel espoir et l'effacement des sentiments d'impuissance et de désespoir semblent être des facteurs importants qui pourraient améliorer la santé et prolonger la vie, pour sa part Oakley Ray, dont les études ont montré que les hommes plus âgés qui vivaient avec optimisme sont plus susceptibles de voir le verre à moitié plein - plutôt qu'à moitié vide -. couraient moins de risques de souffrir de maladie coronarienne "Quand nous sommes déprimés, le système immunitaire disparaît et nous devenons exposé à des cancers et des infections», a déclaré le Dr Patrick Vinay, ancien doyen de la Faculté de médecine de l'Université de Montréal. Il explique que nous avançons en âge, nos cellules peuvent devenir cancéreuses, mais si le système immunitaire est en bonne forme weýll réussissons à détruire. "Prenons l'exemple d'une personne qui est emprisonné pendant trois ans à Auschwitz. C'est seulement la peau et les os, mais il se bat et la vie. Le jour où il ne voulait pas se battre, se trouve sur le lit, regarde fixement le mur et le lendemain, meurt de pneumonie parce que son système immunitaire faltered.Conversely, des études scientifiques récentes montrent "l'affect positif et la production d'anticorps de l'immunoglobuline dans la salive former la première ligne de défense contre les infections respiratoires. Dr. Keith Norman de Cambridge dit; ýAnything qui rend quelqu'un sereine et heureuse dans sa peau a un effet extrêmement important sur la santé. Et je dirais même que le meilleur remède, c'est le bonheur. Si vous êtes heureux, vous allez guérir beaucoup de choses. «Au cours des dix dernières années, le Dr François Lespérance, directeur du département de psychiatrie au CHUM recueille et publie des résultats de recherches montrant que les symptômes de la dépression et l'anxiété augmentent le risque de développer une maladie cardiaque ou qu'elle se répète. Notamment, les patients en cours d'hospitalisation d'infarctus du myocarde et présentant des symptômes de la dépression sont plus susceptibles de mourir ou du moins, de voir leur maladie cardiaque s'aggraver, dit-il. Par ailleurs, ces mêmes symptômes décelés chez des personnes apparemment en bonne santé, sans antécédents de maladie cardiaque, prédisent le développement de la coronaropathie maladie dans les cinq à dix ans de dépression. Il compte également la même relation, quoique sur un mode mineur, existe aussi entre l'anxiété et disease.To coronarienne expliquer ce phénomène, les chercheurs soupçonnent l'existence de mécanismes biologiques impliquant des interactions entre le cerveau et le cœur . «La dépression est un état de stress intense qui se produit au cours perturbations biologiques qui affectent le cœur», explique le Dr Lespérance. Cependant, ces perturbations vont entraîner un risque accru d'arythmie, une tendance accrue du sang à coaguler et l'activation de l' réponse inflammatoire qui induit l'athérosclérose, qui se manifeste en fin de compte par une étude de infarction.Many du myocarde ont clairement montré que le stress chronique est néfaste. "Aux Etats-Unis, 60-90% des maladies sont liées au stress», explique le Dr Herbert Benson, président de l' Mind /Body Medical Institute à Chestnut Hill, une banlieue de Boston, Massachusetts. «Le stress peut causer ou exacerber des maladies comme l'hypertension, l'infarctus du myocarde, l'infertilité, problèmes gastro-intestinaux, le diabète, la dépression et le syndrome de fatigue chronique." Mais comment le stress nous rend malades ? Quand une personne est stressée, différentes régions du cerveau sont activés et libèrent des hormones et médiateurs chimiques qui affectent le système immunitaire et diminuent sa force de frappe contre les envahisseurs ", explique le Dr Esther Sternberg. Le chercheur à l'Institut National de la Santé Mentale (NIMH) cite l'exemple d'une étude menée par Janice Kiecolt-Glaser de l'Université de l'Ohio, qui a noté en particulier que les personnes souffrant de stress constant, tels que ceux qui s'occupent d'un proche atteint de la maladie d'Alzheimer, ne produit pas suffisamment d'anticorps pour la protection conférée par le vaccin a été administré à eux. "Si vous êtes chroniquement stressé et que vous ne fonctionne pas, vos blessures mettront plus de temps à guérir», a déclaré le Dr Sternberg, qui est aussi l'auteur de l'équilibre Dans un livre très bien documenté que les liens biologiques entre la santé et les émotions. Quand on est stressé, le centre de commandement de la réponse au stress dans le cerveau (hypothalamus) libérée dans le sang une hormone appelée CRH (hormone de libération de corticotrophine) qui déclenche la libération en cascade d'autres hormones et neurotransmetteurs qui marquera les glandes surrénales de sécréter le cortisol. Cette dernière hormone inhibe la capacité des cellules immunitaires à favoriser l'inflammation - qui est une réaction immunitaire - et à produire davantage cytokines, les signaux chimiques qui stimulent d'autres cellules immunitaires à croître, divisent ou matures. "Donc, si vous êtes constamment stressé, vous versez constamment dans la circulation sanguine cette hormone anti-inflammatoire qui garde le silence sur le système immunitaire, ce qui, tout à coup, devient moins apte à combattre les infections et à guérir les plaies», explique Esther Sternberg.Furthermore, lorsque nous sommes confrontés à un incident soudain et dramatique, par exemple, évitant de justesse un accident sur la route, notre système nerveux communiqués noradrénaline et les glandes surrénales sécrètent l'adrénaline pour leur part, qui, avec la noradrénaline, accélère le rythme cardiaque et la respiration, l'augmentation de la pression artérielle, provoque une ruée du sang vers les muscles, et préparer la peau et les cheveux sueur fait. Ces deux neurotransmetteurs stimulent et renforcent le système immunitaire, ce qui nous empêche de tomber malade. Le lendemain de l'échéance, par contre, on contracte une infection car il a perdu le peu d'effet de protection fourni par l'adrénaline, le taux est revenu à la normale. Le cortisol que l'organisme, toujours sous l'effet du stress chronique continue à se décharger dans la circulation sanguine prend alors le dessus et affaiblit le système immunitaire. "Nous pouvons donc dire que l'esprit peut guérir le corps par des neurotransmetteurs et des hormones qu'il communiqués et, en fin de compte, affectent le système immunitaire. Il est donc compréhensible que la plupart des gens ont un système immunitaire optimiste et déterminé plus efficace que les gens pessimistes parce qu'ils ont plus de succès dans la réduction de leur réponse au stress », explique Esther Sternberg.Based sur les travaux de John Cacioppo de l'Université de Chicago, et Richard Davidson, de l'Université du Wisconsin, il est apparu que certains humains sont mieux en mesure de faire face à l'adversité et la maladie. «Le cortex cérébral de l'hémisphère droit de ces personnes disent résilience est plus actif que ceux qui tombent malades ou tomber dans la dépression quand ils ont des expériences qui peuvent même être moins dramatique», explique Esther Sternberg. Le système immunitaire de ces personnes résilientes est également différente, et c'est sans doute due à la libération des hormones du cerveau et des neurotransmetteurs impliqués dans la mobilisation du système immunitaire. "Mais s'il s'avère que vous n'appartenez pas à cette catégorie de personnes, les chercheurs ne savent pas si, en essayant d'adopter une attitude positive, vous serez en mesure de devenir plus fort, a déclaré le Dr Sternberg. Et vous ne vous sentez pas vraiment coupable si vous ne réussissez pas, et si vous êtes sick.According le Dr Sternberg, des thérapies comportementales et de méditation pourraient être en mesure de changer l'attitude d'une personne. Mais le fait demeure que la réponse au stress est en partie déterminée par les gènes et qu'elle varie donc d'un individu à un autre. Par ailleurs, des expériences traumatisantes qui ont eu lieu en début de vie peuvent également modifier la réponse au stress à l'âge adulte et à amplifier. «Ces approches qui réduisent la contrainte de ne pas guérir le cancer ou eux-mêmes et les médicaments anticancéreux et des antibiotiques infection sont toujours nécessaires . Mais ils peuvent aider le corps à guérir mieux lorsque ces traitements sont administrés à lui », prévient Esther Sternberg
par:. DataFlat