Nous nous souvenons Elbe - La mort prématurée d'un enfant

Quand nous avons découvert que j'étais enceinte, Jacques et moi avons pleuré et ri en même temps, embrassés les uns les autres et roulèrent sur le sol de notre petit appartement comme deux enfants en liesse . Quelques mois plus tard, quand nous avons découvert que je portais une fille, Jacques est allé au centre commercial et a acheté le plus grand, pinkest ours qu'il pourrait find.Elbe né le 4 Septembre 1996 par césarienne. Nos cœurs sont remplis d'émotion, notre premier enfant! Nous étions parents! Et elle était le plus beau bébé que nous ayons jamais vu. Tôt le lendemain matin, une infirmière est venue me réveiller avec les nouvelles que l'Elbe avait une convulsion. J'ai appelé Jacques - Je ne savais pas ce qui se passait, je ne comprenais pas ce qu'ils disaient! J'avais 21 ans, il avait 33 ans, il serait peut savoir ce qui se passait! La journée se prolongeait et tous les médecins pouvait dire était que nous Elbe avait un manque d'oxygène, quelque part au cours de son développement fœtal et qui était la cause de la convulsion. Au cours de la journée, il est arrivé un peu plus fois.Nous ne pouvait pas prendre notre nouvelle fille à la maison. Nous étions anéantis. Elle est restée dans l'unité néonatale pendant 8 semaines. J'ai dû aller à l'hôpital 3 fois chaque jour pour expulser du lait pour son alimentation, qui a été administré à travers un tube dans le nez, comme elle n'avait pas de réflexes allaitement. Peu de temps après elle est venue à la maison, les choses tournèrent genre de normal pour nous. Pendant les 8 semaines, ils ont trouvé de nombreux "petits" problèmes avec son qui n'était pas évident au premier abord, comme le fait qu'elle était aveugle, presque entièrement sourd, avait très peu de tonus musculaire et devront rester sur les médicaments pour contrôler ses niveaux d'ammoniac assez Voilà pour le reste de sa vie. Mais elle était notre bébé et nous aimait plus que tout au monde. Elle douchés avec papa, riait quand vous habillé elle, a appris à boire dans une bouteille. Les médecins n'ont pas pu diagnostiquer le trouble de la concentration d'ammoniac. Tout ce qu'ils ont dit, c'est que c'était un trouble métabolique et ils n'étaient pas sûrs ce qui a causé cela. Elle avait sans cesse à passer des tests et cela a été très pénible. J'ai quitté mon travail pour être avec elle à temps plein et à s'occuper d'elle. Malgré tout cela semblait mal, elle était le bébé le plus parfait que nous n'aurions jamais pu rêver d'. Elle était la nôtre et nous aimait inconditionnellement. Elbe devait recevoir la thérapie physique, thérapie de la parole et de la physiothérapie sur une base quotidienne. En plus de cela, nous étions au neurologue une fois par semaine pour plus de tests. Elle était un rayon de soleil et a touché le cœur de tous ceux qui ont travaillé avec elle. Une chose que je me souviendrai toujours d'elle, c'est qu'elle a toujours été smiling.Twenty mois passés. Elle était toute notre vie tournait autour. Nous étions les Inséparables-Trois. En attendant, les médecins conseillent que nous essayer d'avoir un autre bébé. La logique était que l'activité d'un autre bébé dans la maison serait une excellente stimulation de l'Elbe. Je conçut encore et enfanta un fils en Avril 1998. Peter-John était un prem de 34 semaines, mais contrairement à notre expérience avec l'Elbe, il était fort et plein de vie dès le premier jour. Nous l'avons emmené à la maison après 1 semaine et Elbe immédiatement pris à lui comme une maison en feu. Dès lors, pendant une courte période, nous étions vendredi Inseparable-Four.The je ne serai jamais forget.On 18 mai Elbe a développé une fièvre que nous ne pouvions pas sortir. J'étais occupé à ouvrir un autre salon de beauté et ma sœur est venue de Cape Town pour vous aider. Le vendredi 22 mai, j'ai quitté Elbe et Peter-John dans la prise en charge de notre Nanny et ma sœur et j'ai rapidement glissé pendant quelques instants pour trier quelques questions au nouveau salon. J'ai téléphoné à la nounou à quelques reprises pour vérifier sur les enfants et la dernière fois que j'ai téléphoné, Elbe venait de finir sa bouteille. Quand je suis rentré, j'ai vérifié sur les enfants et immédiatement su que quelque chose n'allait pas. Elbe était endormi, mais sa respiration était anormalement lente et profonde. J'ai attrapé elle et ma sœur et je me suis précipité hors de l'hôpital. J'ai allumé les feux de détresse et conduit aussi vite que j'ai pu. Sur le chemin de l'hôpital, l'Elbe a cessé de respirer. Ma sœur a donné son bouche-à-bouche, mais a été incapable de la ranimer. À l'hôpital, Jacques attendait déjà dehors avec le chirurgien. Le médecin saisit Elbe et a couru à l'hôpital. Dans une salle de réanimation, ils ont travaillé sur elle pendant plus d'une heure avant que le médecin a demandé à Jacques s'il pouvait arrêter. Elle doit être la plus cruelle question n'importe qui peut demander à un père. «Est-ce correct si je laisse votre enfant mourir maintenant?" Est ce que ça sonnait comme. Mais nous savions que le médecin avait tout ce qu'il pouvait faire. Pourtant, Jacques a plaidé avec le médecin de continuer d'essayer. Une heure s'écoula avant que l'équipe médicale a finalement renoncé. Ils se sont excusés, ont tiré tous les tubes de son corps et nous ont laissés tranquilles de pleurer. Nous avons tenu notre bébé serré. Nous pourrions regarder les uns les autres, nous pleurions trop, mais nos mains parlé à l'autre. Nous ne pourrions pas supporter l'idée de la laisser là-bas dans la prise en charge des étrangers. Nous nous sentions comme s'enfuir avec elle, prenant sa maison et tout irait bien. La cause officielle de la mort était la grippe commune. Je ne peux pas encore le dire sans l'ajout d'un juron en commençant par F et se terminant par ing en face de «grippe». Imaginez! Avec tous ses problèmes, elle devait mourir d'un virus de la grippe! C'était tellement injuste. Apparemment, le virus a attaqué son muscle cardiaque et elle n'était pas assez forte pour récupérer. Aujourd'hui, nous savons que beaucoup, beaucoup de bébés meurt de cette raison, chaque saison de la grippe, mais il ne rend pas toujours facile ou plus acceptable.I ne peut pas expliquer le sentiment quand nous sommes rentrés à la maison sans elle. Peter-John était là, la famille était là, mais la maison était vide, froid et sombre. Nous avons pleuré pendant des jours. Famille a dû s'occuper de Peter-John. J'ai souvent juste allé dans sa chambre et s'allongea sur son gros nounours rose. Dans les jours qui passaient, Jacques m'a souvent trouvé là, à dormir ou pleurer. Nous l'avons enterrée avec notre famille à Stellenbosch, un beau vieux cimetière situé sur une haute colline et ombragée par des vieux de deux cents ans chêne trees.Now c'est dix ans plus tard. Je ne pense pas que nous puissions jamais vraiment être sur la mort de notre enfant, les enfants ne sont pas censés mourir avant leurs parents. Mais nous avons évolué. Aujourd'hui, nous sommes les fiers parents de quatre garçons et nous vivons dans un pays loin de lieu de repos de l'Elbe. Mais cela ne veut pas vraiment d'importance. Elle restera à jamais dans nos cœurs, jusqu'à ce que nous respirons notre dernier souffle et au-delà
par:. Sarie Preiss