Panaméen Production de café

OverviewCoffee est l'un des plus grands produits d'exportation dans le monde, l'exportation agricole supérieure pour une douzaine de pays et l'une des dix plus grandes exportations agricoles juridiques du monde en termes de valeur. (Source:. Division de la statistique FAO) Selon John Talbot de l'University of the West Indies, "Le café est le deuxième produit le plus précieux exportés par les pays en développement, loin derrière le pétrole brut", mais bien avant la troisième sucre de lieu et d'autres agricoles, forestières et sorties minières. "Le nombre de personnes qui dépendent du café pour tous ou la plupart de leur vie est de plus de 75 millions", selon Ric Rhinehart, directeur exécutif de l'Association du café spécial d'Amérique (SPAA). Selon les estimations de Rhinehart, le café est une industrie de 90 milliards de dollars par année. Son explication de ce chiffre fournit des indications précieuses sur la marchandise. En 2008, Rhinehart-Unis, environ 18 milliards de livres de café vert ont été vendus pour 22 milliards de dollars, soit une moyenne de 1.24/lb $. «Ici, c'est un endroit où le calcul devient intéressant", selon Rhinehart. «Tout ce que le café torréfié obtient, en réduisant son poids à environ 14 milliards de livres. De ce montant, environ 70% sont vendus pour la consommation domestique d'environ 4.50/lb $, ce qui donne environ 45 milliards de dollars. "L'autre 30% est brassée et vendue à des prix plus élevés pour un autre 45 milliards de dollars environ. En combinant les ventes de café torréfié avec des ventes brassées produit les 90 milliards de dollars estimate.Others annuels, y compris Antony sauvage, l'auteur de l'or noir, ont suggéré que les personnes et les dollars impliqués dans l'industrie du café sont bien au-delà de estimates.Panama CoffeeIt de Rhinehart est J'ai le privilège de vivre dans Boquete, "la Napa Valley de café", selon agriculteur monsieur John Collins de Finca Lerida. Boquete est située dans la province de Chiriqui dans la République de Panama. Ici, environ 100 plantations de différentes tailles poussent de nombreuses variétés de café le long de montagnes de la forêt tropicale. La comparaison à Napa Valley est apte; les plantations de café de Boquete sont au moins aussi pittoresque que les vignobles de Napa. Ici, le café est creuse chaque jour et analysés pour son bouquet. En raison de la haute altitude, les haricots sont très denses et uniforme, légère avec un corps moyen, bon arôme et une acidité élevée. Ces cafés immobilières sont considérés parmi les meilleurs au monde, et ils placent systématiquement dans les premiers rangs au concours ventouses internationales. Boquete cafés commencent à 10/lb $ aux États-Unis et le commandement souvent beaucoup plus élevé du café prices.Finca Lerida a récemment été classée au premier rang des 119 cafés dans 15 pays dans le pavillon ventouses au cours de la réunion annuelle SPAA Boston. Adjectifs entendues lors de tels événements sont similaires à ceux utilisés lors d'une dégustation de vin: noisette, fruité, notes florales, fumé corsé délicate, la finition, propre, des arômes de poivre, piquant, épicé, le parfum terreux, des notes de caramel. Finca Lerida a été créé en 1922 par Tollef Monniche, l'homme qui a inventé et breveté le Sifon qui est utilisé dans le monde entier dans le procédé par voie humide. La famille Collins a acheté Finca Lerida en 1958, et la dernière génération perpétue une longue tradition d'innovation à Finca Lerida. C'était fascinant d'apprendre cette nouvelle industrie dans un café de la famille Collins au milieu de history.There de café tellement sont pas de Starbucks à Boquete. Ici pousse certains des meilleurs cafés du monde, encore un livre de grains torréfiés vend localement pour moins que le prix d'un moka grande aux États-Unis Pendant la visite de l'installation de traitement de Dra. Maria Ruiz, j'ai appris une excellente histoire locale impliquant Café Ruiz de Boquete. Le guide touristique partage une histoire sur une négociation entre Sr. Ruiz et un acheteur de «la chaîne de café bien connue." Demandé à l'acheteur, "Avant d'acheter ce café, je voudrais savoir combien vous payez vos employés autochtones." Sr. Ruiz a répondu: «Bien sûr, mais avant que je vous vends mon café, je voudrais savoir combien vous facturez un double mocha grande à New York?" Comme le raconte, l'affaire a été consommé sans autre questions.Premium cafés Boquete sont produits sur de grandes exploitations familiales à proximité de la frontière avec le Costa Rica. De nombreuses régions viticoles sont regroupés autour du volcan Baru: Boquete (le plus connu), Paso Ancho, Volcan, Piedra de Candela et Renacimiento. L'élévation croissance optimale est d'environ un mile de haut, pas plus de 6000 pieds, pas moins de 4000 pieds. La qualité varie selon les microclimats, la composition des sols volcaniques et les conditions climatiques annuelles. D'autres observent noms les plus communs pour les régions de culture, qui sont en corrélation avec les communautés où elles sont cultivées: El Salto, Jaramillo, Palmira Arriba, Alto Quiel.Most cafés de spécialité au Panama sont des dérivés de la variété caturra et le Catuai hybride. Ces cultivars sont moins traditionnel que des cafés gourmets de l'Ethiopie, dont les cafés proviennent de cultivars beaucoup plus âgés, mais ils sont plus traditionnel que des hybrides avec robusta dans leur maquillage. Les deux Finca Lerida et Café Ruiz sont plantés avec Arabica dans les sols volcaniques maintenus pour l'équilibre idéal pour produire le meilleur café de qualité. Les cerises sont délicatement cueillies à pleine maturité par les travailleurs Ngöbe-Bugle autochtones qui quittent cerises mûres pour cueillettes futures main. Les récoltes se produisent pendant de nombreux mois que les cerises ne sont pas tous mûrs à once.Economics de café dans la plupart des BoqueteOn fincas, les travailleurs indigènes sont payés 2 $ par "lata" et à condition logement. Lata est jargon local pour votre seau de 5 gallons standard, qui contient 30 livres de cerises. Certains fincas payer plus ou moins, et beaucoup fournissent de la nourriture ainsi que des logements pour les travailleurs sur leurs exploitations. Une famille peut choisir 10 latas en un jour, les femmes et les enfants ramassent avec les hommes. Tout le monde contribue à la récolte, ce qui est un moment excitant dans le pays du café. En dehors de la saison de la récolte, Ngöbe-Bugle hommes sont payés pour leur travail quotidien maintien de la culture. Ce mois-ci, les processeurs à Boquete paient les agriculteurs $ 7,25 6,25 $ par lata. Cela signifie que les petits producteurs sont filet environ 5 $ par lata, qui devient 4-5 lbs. de café après le traitement. En d'autres termes, 1,25 $ la livre, c'est le haut de gamme de la production d'un agriculteur typique. Cette marge ne couvre pas l'entretien et les impôts moins les économies d'échelle sont obtenus grâce à l'intégration verticale de l'agriculture à la transformation, la torréfaction et la distribution. Étant donné que le café gourmet se vend aux États-Unis pour 10 fois le montant gagné par le producteur, la question se pose: qui gagne de l'argent dans le café? Un agriculteur local, expatrié et blogueur, Lee Zeltzer, une invitation intéressant de consommateurs du nord. «Quand vous achetez un livre de café gourmet, pensez non seulement des cueilleurs qui sont souvent étiquetés comme sous-payés, mais aussi les petits producteurs qui subventionnent votre tasse de matin de Java». Zeltzer rationalise sa récolte en notant que son café est excellent couvre-sol, donc il n'a pas de coulées de boue. Vous pouvez entendre le sourire dans cette statement.With travailleurs indigènes gagnent des salaires de subsistance et les petits producteurs qui luttent pour briser même, 90% des recettes de café sont concentrés dans les mains de moyen à grand producteur /transformateurs, les grossistes, les torréfacteurs et les détaillants. Ici, les investissements peuvent être censés apporter un taux de rendement acceptable. Local VarietiesA récente visite à plus de 600 acres Finca Lerida immobiliers de Boquete a conduit à une discussion avec propriétaire Collins sur les variétés, les techniques et les économies d'échelle de traitement. Chiffres Collins dont il a besoin pour traiter quatre fois plus de café que lui pousse sur les 100 acres qu'il a plantés afin d'obtenir une échelle sain pour son fonctionnement. Il traite pour de nombreux producteurs, comme c'est la pratique au Café Ruiz. Pour Collins, l'économie obtenir l'équilibre souhaité par torréfaction environ £ 160 000 par an. Collins cherche également à obtenir l'équilibre avec les variétés qu'il a plantés: geisha, criollo, Pacamara, caturra, Catuai, moka, java et borbon. Collins est l'installation de systèmes de traitement state-of-the-art utilisant la technologie brésilienne, il gère également un éco-lodge et des visites d'observation des oiseaux sur les 500 hectares de forêt tropicale qui enveloppent ses farmland.Tradeoffs commun dans les régions productrices de café de Boquete impliquent la conservation et la durabilité. Collins, par exemple, n'a pas l'intention de planter plus grande superficie. Chaque récolte supprime les nutriments du sol-nutriments qui doivent être réapprovisionnés. L'érosion et les produits chimiques peuvent entraîner d'autres problèmes. Beaucoup de coteaux non plantés sont trop raides pour l'agriculture et d'autres secteurs en concurrence avec un boom de la construction alimenté par les retraités expatriés en provenance d'Europe, d'Amérique du Nord et le Costa Rica voisin. L'achat de nouvelles terres pour le café est une barrière à l'entrée à Boquete. Le boom du bâtiment local conduit les prix des terrains à des niveaux communs aux agriculteurs expatriés CoffeeSome USOrganic prennent une nouvelle approche. Rich Lipner de Finca Dos Jefes d'El Salto est l'un d'une douzaine de producteurs biologiques de la région. La ferme de Lipner est 100% gratuit chimique. Il pousse souvent les mêmes variétés que Collins. Ils ont tous deux préparent leurs propres sols avec des intrants organiques pour remplacer le phosphore, le calcium et le potassium enlevé du sol par leurs arbres florissants. Lipner, cependant, les pratiques agricoles lunaire et il utilise la méthode de traitement naturel sec (avec la peau), ce qui assure plus des sucres à partir de la cerise sont retenus par le bean. Par conséquent, "Cafés de la Luna" sont naturellement doux. Finca Dos Jefes propose également des visites uniques où les clients apprennent à rôti, café torréfié goût de plusieurs façons, et puis rôtir un livre à leurs propres spécifications de prendre home.Upside PotentialThe concept d'une «vallée de Napa de café;« ventouses quotidiennes, des dégustations et des visites et l'expérimentation de variétés et des méthodes de traitement continuent à conduire la qualité du café à Boquete vers de nouveaux sommets. Un exemple de réussite est Café Geisha, mis au point à la famille Peterson Hacienda La Esmeralda. La variété de Geisha a voyagé de et vers l'Afrique et le Costa Rica et est maintenant largement planté dans Boquete pour répondre à une demande extraordinaire. Le succès de ce cépage à l'Hacienda La Esmeralda a inspiré certains à suggérer Boquete est à café comme Bordeaux est au vin. Un livre peut aller chercher plus de 125 $ à auctions.Just de café de spécialité comme Napa Valley a la concurrence des régions viticoles de l'Oregon et de Washington, le Chili et l'Argentine, les producteurs Boquete s'attendent à une concurrence accrue dans le café de domaines tels que les régions de culture du Guatemala, du Mexique et de l'Amérique du Sud , comme Bolivie, le Brésil et le Pérou. Les prix des terrains à travers l'Amérique latine sont plus favorables que les hauts plateaux du Panama. Cafés d'ombre du Costa Rica et le Mexique atteignent des prix très attractifs compte tenu des coûts de main-d'œuvre là-bas. Le Guatemala a cafés de fruits superbes comme le Huehuetanango de San Juan Pixcayá, le Honduras et El Salvador sont également en lice. En conclusion, le café est un produit avec un potentiel d'investissement agricole pour les opérations à moyen et à grande échelle. Pour les plus petits opérateurs, l'innovation et l'intégration verticale sont essentiels et le retour sur investissement peut être modeste, en dehors des avantages de qualité de vie potentielles issues de la vie sur une plantation de café. Alors que la demande mondiale de café ne cesse de croître, le prochain café hot spot attend quelque part dans America.Stephen latine est un écrivain basé à Seattle, entrepreneur et consultant. Il est associé à des ressources du marché international, un conseil de commerce latino-américain et le fondateur de l'évolution de la latitude, une agence de voyage. L'objectif de la consultation de Stephen est un développement stratégique sur le marché, la recherche et la gestion. En plus de la consultation et de l'écriture, il se passionne pour la culture latino-américaine, les voyages et l'agriculture durable
par:. Stephen Kaczor