A survivants mésothéliome Story-Bonnie Anderson

Bonnie diplômé de l'université avec un double diplôme dans l'enseignement primaire et bibliothéconomie de l'année 1974, mais n'a pas pu trouver un poste d'enseignant parce que la guerre du Vietnam avait causé faible taux de scolarisation dans les écoles primaires. Dans le même temps, une raffinerie de pétrole locale posté opportunités d'emploi annoncées pour la mécanique et Bonnie appliqués pour la job.She a finalement été embauché et est devenu l'un des premiers électriciens industriels féminin au Nouveau-Jersey.She travaillé pendant environ douze ans dans l'industrie avant qu'elle a finalement obtenu comme bibliothécaire de l'école intermédiaire, qui est en ligne avec son amour initial de travailler dans un enseignement environment.Early en 2001, Bonnie a commencé à ressentir des douleurs à l'estomac, de la diarrhée et d'autres symptômes généraux. Ils ont été traités comme le syndrome du côlon irritable. Le traitement, qui comprenait des anti-spasmodiques et des médicaments contre la douleur, s'est avérée inefficace. Elle a subi de nombreux tests: prises de sang, le travail-ups gynécologique, une portée de sa vessie, à la fois supérieure et inférieure coloscopie GI et endoscopy.After effectuer ce dernier, son gastro-entérologue a suggéré une chirurgie exploratoire, mais le chirurgien a estimé inutile. Un lavement baryté suivi d'un X-ray a également révélé nothing.Her médecin traitant l'a référée à un autre gastro-entérologue, qui a ordonné un scanner. Le médecin a noté quelques stries anormale sur le scan, mais à part suggérant une relation possible à une hystérectomie totale Bonnie a subi en 1988, il n'a pas pu déterminer son cause.Finally, en Décembre 2001 Bonnie a développé une ascite qui est accumulation de liquide dans l'abdomen. Un autre scanner a été ordonné, et son gastro-entérologue a essayé d'enlever le liquide. Bonnie trouvé la procédure trop douloureux et le spécialiste a dû y mettre fin avant qu'il ne soit en mesure de retirer la totalité du fluide. Les tests effectués à partir du liquide n'ont pas révélé de cellules cancéreuses. Mais Bonnie était toujours dans la douleur, et décrit la pression comme "horrible" et "irréel." En Février 2002, la gastro-entérologue a envoyée à un chirurgien pour une laparoscopie. Le chirurgien a enlevé 6 litres de liquide et a été en mesure de voir ce qu'il a décrit comme tapis intérieur-extérieur répandu dans la paroi de l'abdomen. Avant Bonnie a quitté la salle d'opération, il a demandé le département de pathologie de l'hôpital pour confirmer qu'il était bien regardez ce qu'il soupçonnait d'être le mésothéliome. Pathologie confirmé son évaluation. Bien qu'il ait été dans la pratique depuis de nombreuses années, le chirurgien a avoué n'avoir jamais vu le mésothéliome avant, sauf dans un textbook.When Bonnie se réveilla, elle et son mari John a reçu les nouvelles. Comme ils n'avaient jamais entendu parler du mésothéliome, seul le mot «cancer» registered.Though le processus d'arriver à un diagnostic correct avait été si long et difficile, l'histoire de Bonnie a ensuite pris un virage opportun, celui qui très probablement sauvé ses nombreux mois de recherche avant d'arriver à son partenaire un chirurgien treatment.Her efficace avait fait sa résidence sous la direction de John Chabot et il a immédiatement donné une recommandation Bonnie direct à une équipe actuellement à la pointe de la recherche et de traitement pour le mésothéliome péritonéal, l'équipe de pathologiste et MARF consultatif scientifique Membre du Conseil Dr. Robert Taub et son partenaire de traitement, chirurgien John Chabot, à la fois de Columbia Presbyterian à New York City. Dr Taub a visité Bonnie immédiatement, alors qu'elle était encore à l'hôpital voir le Dr Bonnie Chabot.Later vu le Dr Taub à Pres-Britannique, et à partir de diapositives acquises au cours de la laparoscopie, le Dr Taub a identifié ses cellules de mésothéliome à la fois épithéliale et sarcomatoid. Il l'a informée que généralement, les cellules épithéliales sont moins agressifs et se développent à l'extérieur de la doublure et les organes péritonéale. Cellules sarcomatoïdes, at-il dit, sont tissés tout au long de la paroi comme un fil à travers un tissu. Ils sont plus agressifs et généralement considérés comme inopérables. Mais parce que Bonnie avait un mélange des deux types de cellules, l'équipe a décidé d'essayer surgery.At ce point, afin de se conformer à la couverture de son régime d'assurance, Bonnie a cherché un traitement dans son état natal du New Jersey et vit deux oncologues là. Le médecin considéré comme le top oncologue dans le New Jersey informé Bonnie que son plan de traitement consisterait en une opération suivie d'une chimiothérapie avec doxyrubicin.With son enquête esprit Bonnie a rapidement découvert que les patients traités dans ce programme ont montré un pour cent de chances de survivre 18 pendant cinq ans . Elle a aussi appris que doxyrubicin était un médicament ancien, mis en place et testé quinze années auparavant. Sûrement, pensait-elle, il existait un meilleur traitement, plus de courant que this.She retourné au protocole du Dr Taub et l'approche multimodale, qui signalait un d'environ 35% le taux de survie à quatre ans pour ceux qui ont subi avec succès le fournisseur d'assurance de treatment.From Bonnie , le Dr Chabot a pré-certification pour opérer le 2 Avril 2002. Avant la chirurgie, elle se sentait très inquiet, et a obtenu les noms de deux autres patients qui avaient subi avec succès le même protocole agressif avec les Drs. Taub et Chabot. Au cours de la chirurgie initiale Dr Chabot n'a pas trouvé de mésothéliome sur ses organes et pas de grandes masses, bien que peu tumeurs ont été répartis dans la doublure de son abdomen comme des plombs de chasse. Il a également constaté que le cancer n'était pas aussi avancé que l'équipe avait déjà pensé, si la chirurgie de Bonnie a pris seulement une fois et demi hours.Dr. Chabot gratté autant qu'il le pouvait de ce qu'il pouvait de la tumeur visible, enlevé épiploon de Bonnie et installé les ports utilisés pour administrer la chimiothérapie. Alors que la guérison et d'attente pour les agrafes à enlever, Bonnie a plaisanté et a gardé son attitude curieuse. «Je n'ai aucune idée à quoi m'attendre minute en minute," dit-elle. «Je sens que je suis dans Star Trek, aller là où je ne suis jamais allé auparavant." Pendant ce temps, le Dr Taub avait obtenu la permission de la HMO pour commencer la chimiothérapie. Bonnie a commencé la première des huit séances d'un cycle de trois semaines: la première semaine de recevoir un traitement pendant deux jours; la deuxième semaine, le traitement pendant trois jours, et la troisième semaine de congé. Les sessions de trois semaines consistaient en doxorubicine un semaine en alternance avec le cisplatine plus gemcitabine l'autre. "Vous êtes juste se sentir assez décent où vous deviez recommencer," Bonnie remembers.When les sessions terminé six mois plus tard, elle a commencé à quatre semaines après l'interféron gamma, une fois par week.At ce point, en plein milieu d' recevoir le traitement dont elle et ses médecins croyait pourrait lui sauver la vie, Bonnie face à un autre obstacle énorme. Son fournisseur d'assurance une fois de plus son savoir qu'ils ne seraient pas fournir une couverture à l'extérieur de New Jersey. Le traitement de Bonnie avec le Dr Taub a dû être arrêtée. Encore une fois, elle a examiné les statistiques qu'on lui avait donné: le taux de survie de 18% contre 35% avec un second essai clinique du Dr Taub. Bien sûr, il n'y avait qu'un seul choice.Bonnie, son mari et sa fille Darcy monté une "grande campagne" pour obtenir la couverture dont elle avait besoin pour compléter le protocole du Dr Taub. Ils ont contacté leurs sénateurs, Congrès des personnes, le bureau du gouverneur, le ministère des banques et assurances et toutes les agences fédérales et d'État ou groupe d'intervention, ils pourraient se tourner vers le haut. Enfin, ils ont trouvé quelqu'un au ministère des services de santé et Senior qui aideraient les bras avec les ressources nécessaires pour convaincre la compagnie d'assurance pour couvrir le case.After de Bonnie diriger lettres, la documentation, et des appels téléphoniques à la fois le Dr Taub et son propre médecin traitant à la compagnie d'assurance, Bonnie est arrivé à un moment charnière. Elle parlait d'une conférence téléphonique directement avec un directeur et la commission d'appel de la compagnie d'assurance. Elle leur dit que si elles ne lui permettaient pas de poursuivre le traitement à la Columbia Prés, elle allait mourir. La commission d'appel a dit qu'ils allaient «prendre son cas en considération." Bonnie a été choquée quand elle a reçu la décision écrite: denied.For trois ou quatre semaines, elle était dans une panique, mais n'a toujours pas renoncé. Enfin, le Dr Taub a pris contact avec le directeur de l'état-niveau et a réussi à convaincre la société que toutes les composantes de son essai clinique avaient déjà été testé, le seul élément expérimental était qu'il avait recoller les morceaux. Enfin, la société a acquiescé, en acceptant de couvrir partiellement le traitement d'abord, puis complètement avec juste un co-paiement. Euphorique, Bonnie était complètement en arrière dans le protocole. Elle a terminé les cycles de chimiothérapie, en les complétant en Août, 2002.Bonnie a subi la deuxième chirurgie du protocole en Octobre 2002. L'observation de M. Chabot a indiqué que tout avait l'air bien. Il a enlevé les ports et obtenu quatre biopsies aléatoires. Parmi ceux-ci, deux présentaient aucun cellules cancéreuses, tandis que deux ont fait. Le chirurgien avait bon espoir que le lavage du ventre de chimio chaud aurait vidé ces deux out. Ce n'est qu'en Janvier que Bonnie a suffisamment récupéré de la chirurgie pour commencer rayonnement. Après cinq semaines et demie de rayonnement, Bonnie a éclaté en une éruption cutanée qui ne pouvait identifier et arrêté le traitement temporairement. Elle a terminé rayonnement au début de Mars 2003, et les Drs. Taub et Chabot estiment qu'elle soit dans les 43% de ceux qui vont survivre après avoir terminé le 2e mois d'trial.Six cliniques de stade depuis qu'elle a terminé le protocole, Bonnie dit qu'elle se sent 100% mieux que ce qu'elle a fait il ya un an. En Avril 2003, elle est retournée à son poste de bibliothécaire du collège et travaillera à nouveau régulièrement cet automne. "C'est si bon d'être de retour au travail parce que j'aime ce que je fais», dit Bonnie. «Je tiens à multi-tâche, j'aime enseigner, et bien sûr, j'aime la recherche." Plus tard cet automne, elle a hâte de retourner à l'autre chose qu'elle aime faire: monter son cheval quart, TJ Elle se fait toujours fatigué facilement, et elle ne peut pas prendre la chaleur ou au soleil. Mais elle dit que son énergie est de retour et son poids, qui était en baisse à 105 livres au cours de la chimiothérapie, s'est stabilisé à 145.Every trois mois, elle revient à Pres-Britannique pour un scanner, PET-scan et des tests sanguins. En Juillet 2003, son équipe de traitement a détecté deux points d'activité dans son abdomen, mais à part ça, pas de changement ou de croissance a été visible.Recently, en Septembre 2003, Bonnie a assisté à la Race to Remember, une course chronométrée de quatre mile ou de marcher tenue dans le comté de Mercer Parc, West Windsor, NJ. L'événement commémore le mésothéliome victime John Zipper et tous ceux qui ont lutté ou luttent contre le mésothéliome, et amasse des fonds pour le mésothéliome research.Bonnie travaillé dans la tente d'inscription et fait beaucoup de merveilleux souvenirs de l'événement et des personnes qu'elle a rencontrées, y compris John Zipper Karen veuve et son fils Dan, les créateurs de la course. "C'était tellement génial!" Bonnie dit. "J'ai appris à tirer au large de la corne de départ et j'ai rencontré les gens les plus sympas. C'était une belle journée." En ce moment, Bonnie affirme que «La vie est belle!" Elle encourage les autres patients atteints de mésothéliome à croire que chaque minute est worth fighting for, et face à un traitement, à adopter une «Just do it attitude!». «C'est la façon dont j'ai toujours vécu ma vie», dit Bonnie, et de la la preuve, c'est probablement la façon dont elle va continuer à vivre pour les années à venir
par:. Bello kamorudeen