Dans la nature

Il est sorti de la nuit, apparaissant soudainement dans mes phares, un grand chien d'or, haletant, ses pattes avant tapant sur le sol dans une petite danse anxieux. Derrière lui, de grands peupliers dans leur Avril floraison. Derrière le bosquet, le fleuve San Juan, se déplaçant rapidement, noir et enflé avec ressort melt.It était près de minuit, et nous cherchions un endroit pour jeter nos sacs de couchage avant de commencer notre voyage sur la rivière dans la matinée. A côté de moi dans la cabine de la camionnette était assis Benj Sinclair, à ses pieds un amas de wrappers route alimentaires enduites avec le parfum des chiens de maïs, rondelles d'oignon, et les burritos. Tour à joues, Buddha-ventre, trente-neuf ans, Benj avait passé ses premières années dans le Corps de la paix, en Afrique de l'Ouest, et avait développé un estomac qui pourraient digérer n'importe quoi. Derrière lui, dans le strapontin était Kim Reynolds, un instructeur Outward Bound du Colorado connu pour sa grâce dans un kayak et sa longue tresse de cheveux brune, qui a tenu la légère odeur d'une bonne santé, de trente-deux ans, une femme qui avait sué dans le désert et n'avaient pas utilisé déodorant. Comme Benj et moi, elle avait mangé un repas de pizza à Moab, dans l'Utah, une centaine de miles jusqu'à la route où nous avions rencontrée. Comme nous, elle dégageait des odeurs d'ail, oignons, sauce tomate, le basilic, l'origan et anchovies.In la voiture qui a tiré vers le haut à côté de nous étaient Pam Weiss et Bennett Austin. Ils avaient chassé de Jackson Hole, Wyoming, à Moab, dans leur propre voiture, aidés plate-forme du radeau et achetez les fournitures, nous a rejoint pour la pizza, et, comme nous, ne portait ni parfum ni eau de Cologne. Pam avait trente-six ans, un coureur olympique de ski, et Bennett, vingt-cinq ans, a été en essayant de garder avec elle. Ils avaient récemment tombé en amour et dégageait un mélange d'endorphines et pheromones.People presque jamais décrire d'autres personnes dans ces termes - en notant d'abord leurs odeurs - car nous sommes avant tout des créatures visuelles et comptons sur nos yeux pour plus d'informations. En revanche, la seule vraiment importante sens-clé pour le gros chien d'or, faisant sa petite danse dans les phares, ce sont nos signatures olfactives, qui flotte à lui qu'on a ouvert la doors.It pour cette raison - l'odorat - qui Je pense qu'il trottait directement à ma porte, se pencha la tête en avant avec prudence, et reniflé à ma cuisse nue. Quel mélange d'arômes monta son long museau à ce premier moment de notre rencontre? Quels souvenirs ataviques, quelles possibilités ont été déclenchés dans sa vision du monde canin comme il dégagea les mystères de ma sueur le gros chien? - Apparaissent maintenant dans la lumière rougeâtre intérieur du camion et sans col - ont pris un autre souffle de réflexion et me étudiées avec considération excité. Se pourrait-il avoir été ce que je mangeais, et le résidu subtil qu'il reste dans mes pores, qui le rendait si intéressé à moi? C'était la seule chose que je pouvais voir (notez mon usage humain de «voir» même en décrivant un phénomène olfactif) qui me différencie de mes amis. Comme eux, j'ai skié, fait du vélo, et monté, et j'étais seul. Je venais d'avoir quarante et un, un homme compact avec des cheveux châtains et les yeux bruns lumineux. Mais quand j'ai mangé de la viande, c'était celui des animaux sauvages, non domestiques celles - surtout le wapiti et l'antilope ainsi que le tétras occasionnel, canard, oie, et la truite in.Was mixte, il leur essence métabolisé qui l'intriguait - certains bouffée d' ce que nos ancêtres du paléolithique avaient partagé? L'odorat est notre sens le plus ancien. C'était le tissu olfactif au sommet de nos cordons nerveux primitifs qui ont évolué dans nos hémisphères cérébraux, où la pensée est déposée. Peut-être le chien - un être qui a vécu par le nez - en savait beaucoup plus sur notre relation que je ne pourrais imagine.His profonds yeux bruns me regardaient avec satisfaction lumineux et dit: «Vous avez besoin d'un chien, et je suis . elle "réglées par sa lecture étrange de moi - je cherchais un chien pendant plus d'un an - je lui ai donné une tape cordiale et répondis:". bon chien »Sa queue battait régulièrement, et il n'a pas bougé , les yeux toujours en disant: «Vous avez besoin d'un chien." Comme nous sommes sortis de la voiture et a commencé à déballer notre matériel, j'ai perdu sa trace. Il y avait sa tête, maintenant une queue, là un flanc roux se déplaçant entre les jambes nues et sandals.I jeté mon pad et un sac sur le sable sous un peuplier, glissé dans sa chaleur soyeuse, se retourna, et trouvé lui creuser un nid mon côté. Assidûment, il a creusé le sable avec ses pattes avant, jetant entre ses pattes de derrière avant de tourner, tourner, tourner, et le règlement pour me faire face. Dans la lumière des étoiles, je pouvais voir un front monte, l'autre cours de down.Of, "sourcils" n'est pas vraiment le terme exact, puisque les chiens transpirer seulement grâce à leurs pattes et n'ont pas besoin de sourcils pour garder la transpiration de leurs yeux , comme nous le faisons. Pourtant, certaines races de chiens ont des cheveux plus foncés sur leurs yeux, ce qu'on pourrait appeler «marques de front», et il a eu agissant des Hidatsa, une tribu amérindienne des Grandes Plaines du nord, croire que ces sortes de chiens, qu'ils appellent "Quatre-Eyes», sont particulièrement doux et avoir des pouvoirs magiques. Stanley Coren, le psychologue canin astucieux de l'Université de la Colombie-Britannique, a également noté que ces chiens "quatre yeux" ont obtenu leur réputation de pouvoirs psychiques "parce que leurs expressions étaient plus faciles à lire que ceux des autres chiens. Les taches de couleur contrastante font les mouvements des muscles sur l'œil beaucoup plus visible. "Dans la lumière des étoiles, le chien couché à côté de moi a soulevé un sourcil tout en abaissant l'autre, ce qui implique la curiosité mélangé avec inquiétude quant à savoir si je vais lui permettre de rester . «Nuit» dis-je, en lui donnant une tape. Ensuite, j'ai fermé mon eyes.When je les ouvris le matin, il était toujours recroquevillé dans son nid, regardant directement moi. "Hey," Je suis un said.Up front, en baisse allé dans l'autre. "Je suis à toi», ses yeux said.I laissa échapper un soupir, pas préparés à la façon dont son doux, légèrement visage chien-chien - allant de bonheur à l'inquiétude - a laissé une coupure sous mon cœur. Je cherchais à portées de Samoyèdes, des boules de fourrure blanc brillant avec des yeux malicieux noir. La race parfaite pour une personne d'hiver comme moi, je pense. Mais je ne pouvais pas tout faire moi-même apporter une maison. J'avais aussi sérieusement envisagé Labrador Retrievers, pris par leurs personnalités exubérantes et sachant qu'une telle robuste, chien énergique pourrait facilement partager ma vie en plein air ainsi que soit le chien oiseau que je croyais que je voulais. Mais non Lab chiot m'avait donné ce remorqueur de coeur indéniable qui disait: «Nous sommes une équipe." Le sourcil droit du chien couché en me descendit comme il a tenu mon attention. Son front de gauche a augmenté, ce qui implique: «Vous en retard pour une bonne raison." "Peut-être", dis-je, sentant mon désir d'un chien de race céder. «Peut-être," je l'ai dit une fois de plus au chien dont les yeux côtoyé dans le mien, retourné, et attardé. Il a eu les regards d'un laboratoire jaune rougeâtre, je pensais, au moins de certains angles.At le son de ma voix, il endettée sa tête sous mon bras et apporté son nez contre le mien. Étonnamment, il n'a pas essayé de me lécher dans ce geste démonstratif que de nombreux chiens utilisent avec quelqu'un qu'ils perçoivent comme dominant à eux, que ce soit une personne ou un autre chien - une relique, certains croient, de jeunes loups solliciter la nourriture de leur les parents et les autres loups adultes. Les adultes, ne pas avoir les mains pour mener dispositions, ramener la viande dans leurs estomacs. Les chiots lécher leurs bouches, et les adultes régurgitent la viande partiellement digérés. Les chiots qui finissent par devenir alphas abandonner subordonné lécher. Loups de rang inférieur continuent à afficher le comportement des loups de rang supérieur, comme le font un grand nombre de chiens domestiques aux gens. Auto-possession de ce chien m'a donné pause. N'était-il pas me lécher parce qu'il considérait nous pairs? Ou est-ce mon langage corporel - nous deux étant au même niveau - lui permettent de se sentir quelque peu d'une égalité? Il circonspection sentait mon souffle, et moi, à son tour, elle sentait son. Son sweet.Whatever senti qu'il sentait sur le mien, il l'aimait. «Je suis à toi», ses yeux disaient again.Disconcerted par sa certitude sur moi, je me suis levé et s'éloigna. Je ne veux pas abandonner mes plans pour trouver un chiot qui n'avait que six à huit semaines et que je pouvais façonner à mon goût. Le chien a lu mon énergie et ne m'a pas suivi. Au lieu de cela, il est allé aux autres, en les saluant avec une queue qui remue et larges rires de sa bouche à pleines dents. «Bonjour, bonjour, avez-vous bien dormi?" Il semblait être saying.But que j'ai organisé ma vitesse, je ne pouvais pas garder mes yeux de lui. En dépit de ses côtes montrant, il est apparu en forme et fort, et regardé comme il avait vécu à l'extérieur pendant un certain temps, ses cheveux emmêlés avec des brins d'herbe et de brindilles. Il était peut-être £ 55, pas encore rempli, sa fourrure de renard de couleur accroché dans les plis lâches, en attendant que le chien adulte qui serait. Il avait une crête de fourrure sombre le long de sa colonne vertébrale, les courts-plumes dorées sur le dos de ses jambes, et un bavoir smoking comme de la fourrure posée sur sa poitrine - juste un aperçu de celui-ci - parsemé de taches blanches. Ses oreilles étaient doux et flanelle-like, et accroché légèrement en dessous de la pointe de sa mâchoire. Son nez était noir brillant, il avait les lèvres tout aussi brillant, et ses dents brillaient. Sa queue était grande et powerful.The ci-dessus est un extrait de la Porte du livre Merle par Ted Kerasote Publié par Harcourt, Inc., Juillet 2007; 25.00US $; 978-0-15-101270-1 Copyright © 2007 Ted Kerasote
Par: Ted Kerasote