Un cycle de vie complet, Saying Goodbye

Dans la domestication des animaux et la prise d'entre eux dans nos vies, nos maisons et nos cœurs, nous prenons la responsabilité de répondre à leurs besoins quotidiens. Lorsque nous leur demandons de faire partie de nos vies, ils essaient de leur mieux pour nous comprendre et à intégrer. Dans ce processus, les animaux ont donné loin dépendance complète sur eux-mêmes, et ont gagné restrictions. Ils ne se promènent ou chercher de la nourriture, certains animaux passent leur vie principalement dans un box, chenil, ou cage. Ce que nous demandons à nos compagnons, souvent, mais pas toujours, on le fait pour notre commodité. Ce sont eux qui doivent s'adapter à notre monde, à ce que nous pensons est nécessaire. Nos amis les animaux qui vivent dans l'amour, la compassion maisons, et dont l'essence est à l'honneur, donnent toujours quelque chose. Chris, une jument Appaloosa, est devenu mon compagnon à l'automne 1987. Elle a gagné et perdu en venir à ma maison. Nous avons trouvé un équilibre et a navigué sur le chemin de notre relation. Nous avons grandi pour devenir compagnon uns et des autres. Dans la matinée du 18 Décembre 2002, j'ai dit au revoir à ma jument Chris. Je me suis réveillé pour entendre sa raclée. Mon cœur se figea. Chris était de 28 avec la maladie de Cushing. Le temps que nous avons passé ensemble n'était pas assez long. Je la voulais avec moi pour toujours. J'ai essayé de penser à ses besoins. Dans les quelques heures que nous avions laissés j'ai réalisé que je devais mettre ma douleur de côté, et avec un cœur ouvert, remplir ses derniers moments de respiration avec rien mais l'amour et l'honneur du processus de la mort. Je ne pouvais rien faire d'autre que soutenir. Etait-ce difficile de se séparer que moi aussi je mourais dans ces moments-là? Oui. En regardant dans ses yeux, je savais prenant le rôle du prédateur était le seul cadeau que je pouvais lui donner. Marcher sur la fine ligne d'équilibre dans chacun de nous, donner et recevoir était un défi. Dans toute sa douleur, elle avait décidé qu'elle voulait rester. Encore une fois, elle donnait si généreusement son amour. J'ai dû demander à son cœur et le mien si cela a servi de son mieux. La réponse est "Non" Le vétérinaire est venu et nous a dit au revoir. Son temps dans ce corps était over.The décision que nous faisons avec nos propres animaux quant à la date de leur temps sur la terre à travers devient partie intégrante de notre responsabilité. Chris a renoncé à vivre et à mourir comme ses ancêtres fait une fois, elle ne pouvait pas s'égarer et mourir. J'ai choisi de devenir un prédateur, et de libérer son de sa douleur, sa situation physique n'aurait pas amélioré. Son don serait venu à élevé un coût. Sa mort aurait été atroce. Pour certains, ce n'est pas le cas, et ils sont capables de mourir sur leur own.From une perspective, nos animaux ont pris allongement de la durée de vie. Dans une autre perspective, ils ont commencé à mourir de maladies liées à la vie dans notre monde. Il ya des avantages et des inconvénients dans les deux sens de leur venue à être nos compagnons de vie et dans notre monde. Nous avons créé une vie retirée de la nature et sa cycles.In notre vie quotidienne beaucoup d'entre nous sont devenus retiré de la balance et du cycle de vie. Nous travaillons à l'intérieur de bâtiments, seuls étant à l'extérieur le week-end. Nous avons accès à tous les types de fruits et légumes 12 mois par année. Nous craignons la mort, la douleur et la perte. Nous ne sommes plus attachés au rythme de la nature et de la terre. Le cycle de proie /prédateur est étranger. Nous ne faisons pas partie de la chaîne alimentaire. Notre rôle dans la vie et la mort n'est pas quelque chose que nous consciemment sommes conscients. Nous en sommes venus à croire que nous sommes supérieurs dans le processus de cycle de vie et non une partie de celui-ci. Comme l'ont fait nos animaux, nous aussi ont cédé et ont gagné de l'urbanisation. Nous sommes tous une partie du cycle de vie de la terre, pas supérieure à elle, n'en sont pas séparés, mais une partie des animaux de it.Our Voir Leaving leur corps différemment que de nombreux humains. Les animaux domestiques conservent une acceptation plus près de la mort que leurs compagnons humains font. Ils acceptent, de vivre et de mourir dans l'équilibre de la nature, et en sachant qu'ils font partie du «cycle de vie». Avec la compréhension ainsi que la libération, et l'acceptation de la part du donneur de soins, l'animal quitte la terre et d'une heart.When ouverte, nous savons dans nos cœurs, il est temps de dire au revoir à notre ami le plus cher, c'est la nature humaine pour essayer de changer cela, pleurer, et même le nier. Je voulais égoïstement Chris avec moi pour toujours. Personne ne veut se dire au revoir. Personne ne veut lâcher un meilleur ami, un confident, un compagnon désintéressé. Le deuil est une partie du processus émotionnel. Il fait partie de la cycleReleasing ce qui est mieux pour nous, et d'embrasser ce qui est le mieux pour eux, est toujours un choix. Connaissant la réponse à ce que ce choix est, se trouve dans le cœur. Lorsque le temps est venu pour moi de dire au revoir à Chris, j'aurais pu prolonger, mais cela aurait été pour moi. Mais à chaque étape de la mort est différente. Il n'existe aucune règle à suivre, ou la formule d'évaluer quand se laisser aller, ou même comment se laisser aller. Chaque situation fait différent jument choices.My, Chris, laissez-moi savoir qu'elle était reconnaissante que je l'ai aidée. Que le cycle de l'amour ne peut être cassé, cela irait à l'infini. Aimer les profondeurs de notre être mutuel, à des endroits où nous sommes allés et avons grandi, sera toujours une partie de nos esprits. J'ai vécu la pureté de l'amour avec Chris. Il valait la peine all.Each animal dans notre vie apporte des enseignements, les défis et la pureté de leur amour et de l'esprit. Quel cadeau que nous donnons à l'autre et à nous-mêmes, quand nous disons au revoir, rempli et entouré d'amour
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