Élever un enfant en toute sécurité dans la hotte

Mon estomac a coulé le moment où nous sommes arrivés à la maison de l'hôpital avec notre nouveau-né. Il en face de la maison flânaient le gang des stupéfiants qui a gouverné notre rue Harlem.First à s'avancer était à la tête de l'équipe de drogue. Il a présenté ses félicitations raides alors qu'il scrutait à notre précieux paquet. Ensuite, celui que je craignais le plus - un toxicomane malodorant nommé Salami - laissa échapper un cri menaçant. "Oooh, il est tellement jolie. Tout comme le bébé de Gerber! Méfiez-vous quelqu'un ne vole pas lui!" Comme j'ai commencé à l'hyperventilation, mon mari levelheaded les yeux fixés devant et m'a conseillé d'avoir une emprise sur mon hystérie de montage. «Ça va bien se passer", a insisté John fermement. "Faites-moi confiance." Je ne l'ai pas cru à l'époque. Mais John a été right.Raising un enfant dans cette ville intérieures défis qui se présentent, pour être sûr. A cette époque, il ya sept ans, cette région était l'une des pires n'importe où aux États-Unis pour le commerce des stupéfiants. En un jour donné, 60 trafiquants de drogue se tenaient devant la porte de colportage cocaïne. Mon mari et moi avons déménagé ici parce que nous ne pouvions pas autre chose. Nous étions sans enfant quand nous avons acheté notre maison de grès et de ne pas méditer ce que ce serait comme élever un enfant à côté d'une fumerie de crack. Maintenant, nous avons dû faire face à notre situation. Mais avec un peu de créativité et d'esprit ouvert, nous avons réussi à élever notre fils, Anton, en toute sécurité dans le «hood.First off, beaucoup est une question de perception. Ce que nous parents anxieux ont tendance à oublier, c'est que les petits n'ont pas la moindre idée de ce qui se passe. Les tout-petits ne se rendent pas compte que le gars évanoui sur le toboggan a fait une surdose. Les enfants remarquent simplement que quelqu'un prend une sieste de midi. Par exemple, prenons le temps d'un trafiquant de cocaïne hostile peint à la bombe une menace que je fis par Anton dans la poussette. J'avais peur, mais pas mon enfant. Tous Anton était obsédé par la couleur de la peinture, qui se trouvait être un de ses favoris. "Orange"! Anton gargouilla happily.Later dans la semaine, le petit gars n'était pas le moins ébranlée lorsque la police est venue ronde pour sonder la menace. Comme le lieutenant et moi avons discuté du danger potentiel - qui s'est avéré être nul - Anton rayonnait à la lueur des menottes de l'agent. L'enfant apparemment pensé qu'ils étaient des jouets brillants. Je doute qu'il ait même remarqué au cours gun.Of, nous préférons que Anton pas être exposé à la criminalité et nous gardons un oeil d'aigle sur celui qui pend autour du bloc. Alors ne les mamies qui regardent de près la procédure sur le trottoir. Merci à ces matriarches qui utilisent le trottoir comme une extension de leur salon, notre rue est l'un des derniers à New York où les enfants peuvent jouer dehors en toute sécurité. Les dames sautent de leurs chaises de parterre si un enfant se jette dans la route ou parle à un étranger. Je suis parfaitement convaincu de quitter Anton s'asseoir sans moi sur le perron. Personne ne va le toucher avec les around.Cops mamans fournir davantage de vigilance. Des domaines comme celui avec une mauvaise réputation ont tendance à déployer un grand nombre d'agents sur le temps, et le nôtre sont un groupe particulièrement sympathique. Comme des pompiers, ces gars comprendre ce qui rend les petits garçons tique et Anton a connu plus d'une visite personnelle de camions de police. Il peut probablement se tourner sur une radio de flic avec les yeux fermés et sait comment réserver un perp. Alors que ceux-ci peuvent ne pas être les compétences nécessaires dans la vie, il est certain qu'ils sont un plaisir pour un deuxième grader.This ne veut pas dire que je n'ai pas mes soucis. Dès le plus jeune âge, j'ai fait Anton mémoriser notre numéro de téléphone et le 911. Il a aussi capté espagnol, la lingua franca dans ce quartier dominicaine. Le garçon sait crier assassiner de sang dans les deux langues en cas de trouble.Not qu'il y aurait beaucoup d'occasions, je pense. Peut-être que nous avons de la chance, mais nos concessionnaires locaux ont tendance à être les gars axés sur la famille qui ne consomment pas de drogues eux-mêmes et de décourager la délinquance. La plupart font ce genre de travail parce que c'est un moyen facile de gagner de l'argent à envoyer à la maison de Mama. De plus, ces gens n'ont pas tendance à être violent envers le citoyen moyen. Narcotiques vendeurs comme ceux-ci font autant que juriste d'entreprise et ne vont pas vouloir poursuivre la police agresseurs sur leur propre terrain. Justice de la rue qui est important ici, aussi. Une fois, j'ai vu cinq hommes poursuivent un voleur de sac à main. Ils l'ont abordé et lui a enfoncé jusqu'à ce que les flics arrivent. En irait de même pour toute personne qui fait un peu mal kid.In tout cas, le quartier ne cesse de s'améliorer comme gentrification s'infiltre de beaux quartiers. Les gangs de la drogue ont largement évolué et seulement un gars peu flâner dans le coin ces jours-ci. Espérons que les poussoirs seront tous disparaître avant Anton entre adolescence.Even impulsif si elles sont toujours là, nous avons développé un allié improbable dans l'éducation des enfants. Il s'avère que le toxicomane effrayant Salami a fait du bien-être de l'enfant en cause. Il balaie systématiquement verre brisé jusqu'à l'extérieur de notre maison afin que Anton ne se coupe tout en jouant. "Je ne veux pas que le bébé Gerber à lui-même blessé", Salami a expliqué un jour. "A obtenu de s'occuper de ces enfants." © 2008 Judith Matloff
par: Judith Matloff