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Comment la loi sur la citoyenneté 2009 S'applique aux enfants adoptés

Le gouvernement du Canada a adopté une nouvelle loi sur la citoyenneté qui résout une série de questions sur la citoyenneté canadienne (projet de loi C-37). Enterré dans cette loi est une disposition qui a passé inaperçu, jusqu'à maintenant, ce qui impose des limites sur les droits de la citoyenneté canadienne de certains enfants adoptés à l'étranger. Articles récents parus dans le National Post, le Globe & Mail et le Ottawa Citizen ont porté ces dispositions à l'attention de la Community.Although d'adoption de cette nouvelle loi, qui entrera en vigueur le 17 Avril 2009, j'espère qu'il n'est pas trop tard pour adopter les parents à exprimer leurs opinions (lire les commentaires des parents adoptifs jusqu'ici. Lisez aussi complexe lois sur la citoyenneté colère des parents adoptifs). Les dispositions de la nouvelle loi sont complexes, j'ai énoncé une série de questions et réponses à la fin de cet article, qui je l'espère permettra de clarifier les subtilités de la nouvelle rules.A bonne façon de commencer la compréhension des enjeux est d' Lire les journaux "Les critiques craignent citoyenneté à deux vitesses" et "Changements de citoyenneté pourrait créer des citoyens inférieurs». Pour le point de vue de Robin Hilborn de Family Helper, voir «Le droit canadien refuse la citoyenneté aux enfants adoptés à l'étranger de" ce site.Essentially la législation prévoit que les enfants de certains enfants adoptés à l'étranger n'auront pas droit à la citoyenneté canadienne. En pratique, cela est susceptible d'affecter seulement une petite proportion de tous les enfants adoptés. Que bouleverse les parents adoptants, cependant, est l'idée que leurs enfants auront une moindre classe de citoyenneté. En effet, les enfants sont victimes de discrimination. Les parents adoptifs ne veulent pas se sentir que leurs enfants sont des citoyens de seconde classe. Les parents adoptifs au Canada perdent leur tolérance à l'objet de discrimination. Le ressentiment à la discrimination inhérente contre les familles qui adoptent intégrées dans la législation d'assurance-emploi couve depuis la dernière décennie (pour une description détaillée de la discrimination dont les parents adoptifs se sentent à ce sujet, voir notre Spotlight plus tôt, "Adoption en milieu de travail»). Maintenant, une nouvelle loi qui discrimine leurs enfants va avoir un effet galvanisant sur l'adoption Communauté.Le Rapport annuel au Parlement sur l'immigration 2008, commence par les mots suivants: «La Loi sur la citoyenneté, en vertu de laquelle CIC accorde la citoyenneté aux nouveaux arrivants admissibles , affirme que tous les Canadiens aient les mêmes droits, privilèges et responsabilités, qu'ils soient citoyens de naissance ou par naturalisation. "Cela va changer à partir du 17 Avril 2009. Dans une tentative pour résoudre le problème de la citoyenneté canadienne étant transmis générationnel aux personnes qui ne vivent pas au Canada, le gouvernement a réduit les droits de citoyenneté de certains enfants adoptés à l'étranger, et effectivement créé une classe inférieure de la citoyenneté pour eux. Était-ce vraiment nécessaire? Il se sent comme un marteau a été utilisé pour tuer une mouche. Ne pouvait pas une solution plus élégante ont été trouvés à traiter réellement le problème perçu Le rapport du Comité sénatorial permanent, qui a examiné le projet de loi C-37, stipule: «Une telle distinction serait accorder la citoyenneté à la première génération née à l'étranger tout en niant à leurs enfants et les générations subséquentes étaient-ils d'être né à l'étranger, une telle disposition frappe votre comité comme arbitraire et injuste "Le Comité a également ajouté:".. Plutôt, le Comité exhorte le gouvernement à veiller à ce que tous les aspects de la nouvelle législation relative à la nationalité Charte conforme et cohérent avec les valeurs canadiennes ». Par suite de préoccupations exprimées par le ministère de l'Immigration au sujet de la confusion qui entoure la nouvelle loi, il a récemment publié une clarification. Dans une réponse publiée aux préoccupations des parents adoptifs, le ministre déclare: "Les critiques ont totalement manqué le point de faire des modifications à notre loi sur la citoyenneté, qui entreront en vigueur le 17 Avril 2009, permettront de protéger la valeur de la citoyenneté." Je ne 't crois que c'est vrai. Les parents adoptifs ne comprennent probablement les préoccupations que le gouvernement a de protéger l'intégrité de la citoyenneté canadienne. C'est la solution spécifique, que le gouvernement a mis au point qu'ils protestent. C'est une insulte aux parents adoptifs de dire que leurs enfants ont maintenant une classe inférieure de la citoyenneté canadienne. Le gouvernement doit repenser ces dispositions et de trouver une solution qui ne met pas les limitations sur les droits de la citoyenneté aux enfants adoptés à l'étranger. Le gouvernement doit trouver une solution qui s'adapte le problème réel. Cet article est un appel à l'action pour les parents adoptants. Les parents adoptifs qui souhaitent faire connaître leurs opinions au gouvernement doivent le faire immédiatement. Avant cela, cependant, s'il vous plaît lire les questions et réponses énoncées ci-dessous. La loi est très technique et il ya déjà la confusion au sujet de la loi qui s'appliquerait à. Ce n'est pas aidé par le propre site Web du gouvernement, ce qui n'est pas clair. Si, après avoir lu l'article et les nouvelles règles, d'autres questions se posent qui devrait être posée dans la liste ci-dessous, s'il vous plaît envoyez-les moi et je vais ajouter à la article.Pour Aux fins du présent article, je vais utiliser le terme de classe Une citoyenneté de se référer à la pleine citoyenneté de l'homme et de la classe B pour désigner les nouveaux citizenship.Q1, moindre-droits. Qui ne la nouvelle loi s'applique à? A. La nouvelle loi s'applique aux enfants adoptés qui reçoivent leur citoyenneté à l'étranger, conformément aux nouvelles dispositions de la citoyenneté directs vigueur au Canada le 23 Décembre 2007. [Voir également ci-dessous Q10] Q2.Who n'est pas soumis aux nouvelles règles? A. Les nouvelles règles ne s'appliquent pas à ce qui suit: (a) les enfants adoptés nés au Canada; (b) international adopté des enfants qui viennent au Canada avec un visa de résident permanent et par la suite obtenu la citoyenneté canadienne après leur arrivée au Canada. Jusqu'à présent, cela a été la situation de la plupart (mais pas tous) les enfants adoptés à l'étranger et amenés au Canada. Ils ne seront pas affectées par la nouvelle règle, malgré ce qu'il dit sur le site Web de l'Immigration du Canada. L'affichage sur le Web «nouvelles règles de citoyenneté», déclare: «Cette limitation s'applique également aux individus nés à l'étranger adoptés par un parent canadien Les enfants adoptés par des citoyens canadiens seront considérés comme la première génération née à l'étranger Cela signifie que:.. Si un personne née à l'étranger et adoptés par un parent canadien a eu un enfant en dehors du Canada, cet enfant ne sera pas un citoyen de naissance; ........ " Cette information est trompeuse. Dans un email clarification du ministère de la Citoyenneté et de l'Immigration (qui ne semble pas être affichés partout pour le moment), un fonctionnaire, il est clair que la restriction à obtenir la citoyenneté canadienne ne s'applique qu'aux situations décrites dans la citation ci-dessus et où l' parent de l'enfant né à l'extérieur du Canada était à l'origine accordé la citoyenneté canadienne à l'étranger en vertu de la nouvelle direct à la route de la citoyenneté 2007. Cette anomalie sur le site Web du gouvernement a causé certains parents à croire que la nouvelle loi s'appliquera à leurs enfants, alors qu'en fait il ne sera pas. (C) La nouvelle loi ne s'applique pas aux enfants qui relèveraient normalement dans la définition citoyenneté de classe B, mais dont le parent est de travailler à l'étranger avec le gouvernement canadien (fédéral ou provincial) ou servant à l'étranger dans les forces armées. Au lieu de cela, ces enfants auront classe A citoyenneté. Cependant, les enfants dont les parents travaillent pour les sociétés canadiennes, les Nations Unies, qui sont en vacances, ou qui sont autrement voyager à l'extérieur du Canada ne reçoivent pas cette exemption et avoir la citoyenneté Classe B. Il s'agit d'une distinction qui est difficile à justifier. Si vous travaillez pour un type d'employeur vos enfants sont de classe A citoyens, et si vous travaillez pour un autre type d'employeur vos enfants sont des citoyens de classe B. Il ya sûrement une meilleure façon de régler ce out.Q3. Quelle est la conséquence la plus grave de cette nouvelle loi? A La conséquence la plus grave qui se manifeste en ce moment est que l'enfant né à l'étranger pour une personne adoptée a une chance raisonnable d'être un «apatride» (ce serait les parents adoptifs 'petit-enfant). Cela conduit à un certain nombre de questions: (a) Pourquoi serait-ce possible? - Seuls quelques pays accordent la citoyenneté à un enfant né dans leur pays (le Canada et les États-Unis étant des exemples de pays qui font ça). De nombreux pays s'appuient sur la nationalité des parents de l'enfant ou d'autres critères. L'enfant serait né apatride si elles ne proviennent pas d'une citoyenneté par l'un des parents et ils sont également nés dans un pays où la naissance sur le sol ne donne pas accès à la citoyenneté. Comme un apatride, l'enfant n'aurait aucun moyen évident de venir au Canada. (B) Y at-il un remède? - Un enfant d'un Canadien né apatride à l'étranger aurait la possibilité de demander une subvention de la citoyenneté sur la base des cas d'apatridie. La Loi sur la citoyenneté modifiée contient des dispositions pour accorder la citoyenneté aux enfants apatrides de citoyens canadiens, mais l'enfant doit d'abord vivre au Canada pendant trois ans. Cet enfant apatride n'aurait ni passeport ni le droit d'entrer au Canada, de sorte qu'il n'est pas encore clair comment l'enfant pouvait se rendre au Canada pour y établir sa résidence. On ne peut qu'espérer qu'il y aura un agent d'immigration à l'étranger bienveillant qui a de l'empathie pour la situation difficile que le citoyen de classe B du Canada se trouve dans, et accorde l'enfant apatride une sorte de visa pour venir au Canada. Cet événement sera 20, 30 ou 40 ans dans le futur. Il est difficile de prédire ce que le monde ressemblera alors en termes de population et les pressions sur le système d'immigration canadien. Quelles seront les agents d'immigration dire à un citoyen canadien B de classe en 30 ans qui veut mettre leur enfant apatride retour au Canada? Les parents adoptifs aujourd'hui seront les grands-parents de cet enfant. Nous pouvons tous espérer que c'est une réponse sympathique. (C) Toutes les personnes nées à l'étranger parents adoptifs canadiens pourraient immédiatement confronté au problème décrit dans (b) ci-dessus. Encore une fois, c'est parce que les dispositions de la nouvelle loi s'applique aux enfants nés hors du Canada ainsi que pour ceux adopted.Q4. Qu'advient-il si mon enfant adopté a la classe B citoyenneté canadienne et donne naissance à un enfant à l'étranger? A cet enfant, votre petit-enfant, ne peut acquérir la citoyenneté canadienne. Il ou elle peut être admissible à être parrainé à titre de résident permanent, et ensuite demander la citoyenneté dès qu'il ou elle devient un resident.Q5 permanent. Comment ça marche pour les générations suivantes? Ont-ils de classe A ou B citoyenneté canadienne Un diagramme générationnelle indiquant si descendants de classe A ou B des droits de citoyenneté canadienne: Parents ChildFirstGeneration (parents adoptifs) deuxième génération (votre enfant adopté) Si l'enfant reçoit la citoyenneté canadienne à l'étranger en vertu de la loi de 2007, il /elle aura la classe B CitizenshipThirdGeneration canadienne (votre petit-enfant) Si l'enfant de l'enfant adopté ci-dessus est né à l'extérieur du Canada, il /elle n'aura pas droit à la citoyenneté canadienne automatique. L'enfant peut demander à entrer au Canada avec un visa de résident permanent. Si il /elle obtient par la suite la citoyenneté canadienne, alors ce sera une classe A Generation Citizenship.Fourth (votre petit-enfant) L'enfant de cette classe Un parent de citoyen, si vous êtes né à l'intérieur du Canada, (arrière petit-enfant des parents adoptifs de l') sera avoir la classe A Citizenship.Q6. Puis-je faire quelque chose pour éviter cette nouvelle loi, si je vais adopter un enfant à l'avenir? A Oui vous le pouvez. Ne pas utiliser le nouveau parcours de citoyenneté directe pour les enfants adoptés à l'étranger. Utilisez uniquement l'ancienne route de la demande de visa de résident permanent pour l'enfant, et après que l'enfant est débarqué au Canada une demande de citoyenneté canadienne. Cet enfant aura une classe A des parents rapport de citizenship.Adopting canadienne qu'ils sont constamment informés par des fonctionnaires d'Immigration Canada à utiliser la nouvelle route de la citoyenneté direct. Toute personne qui envisage le chemin à suivre devrait lire notre précédente Spotlight - citoyenneté aux enfants adoptés: nouvelle loi du Canada pour 2008. En outre, les parents adoptifs doivent évidemment se demander si elles souhaitent que leurs enfants aient Classe B citoyenneté canadienne, et l'effet que cela pourrait avoir sur leur grandchildren.Q7. Est-ce que la nouvelle loi contrevient à la Charte des droits? AI ne sais pas. Le gouvernement n'a pas invoqué la «clause nonobstant» en vertu de la Constitution du Canada, de sorte que la Charte ne s'applique à cette législation. Dans le cas McKenna 1998, le Code canadien des droits de l'homme a été utilisé pour dire qu'il était discriminatoire pour les enfants adoptés ne pas être en mesure d'obtenir la citoyenneté à l'étranger. C'est ce cas que 10 ans plus tard finalement amené à la nouvelle loi sur la citoyenneté de 2007 qui permet tout cela. D'autre part, les parents adoptifs n'ont pas réussi à invoquer la Charte des droits pour renverser la discrimination inhérente à la Loi sur l'AE dans le cas Schafer 1997. Il ne semble probable que quelqu'un finira bien par remettre en cause cette notion de citoyenneté Classe B pour les enfants adoptés en vertu de la Charte des droits. Un défi à la Charte pourrait aussi venir basée sur la discrimination contre les personnes nées à l'étranger de citoyen canadien parents.Q8. Les nouvelles règles rétroactives A l'article 3 (4) de la Loi sur la citoyenneté stipule: «Le paragraphe (3) ne s'applique pas à une personne qui, à l'entrée en vigueur de ce paragraphe, est un citoyen." Que signifie cette clause ? Cela signifie que si vous êtes un citoyen le jour de la nouvelle loi entrera en vigueur, alors vous ne perdrez pas votre citoyenneté. Malheureusement, le ministère de l'Immigration interprète cela comme signifiant qu'une personne ne perdra sa citoyenneté canadienne, mais les nouvelles dispositions va changer la qualité de votre citoyenneté. Donc, pour le monde de l'adoption, la loi sera rétroactive et aura les deux résultats suivants: (a) Les enfants qui ont été adoptés et ont obtenu leur citoyenneté canadienne à l'étranger depuis le 23 Décembre 2007 auront leur citoyenneté canadienne rétrogradé de la classe A à la classe B le 17 Avril 2009. Cela viendra comme une mauvaise surprise pour les parents adoptifs canadiens, qui ont poursuivi la voie de la citoyenneté directe à la suite de directions non-stop des fonctionnaires d'Immigration Canada à l'adoption aux parents de prendre la nouvelle route, et (b) Adopter des parents nés à l'extérieur du Canada. Tous les parents adoptifs dans cette catégorie auront leur citoyenneté changé de classe A à la classe B, le 17 Avril 2009. En conséquence, dès lors qu'ils adoptent à l'étranger, leurs enfants n'ont pas le droit de diriger la citoyenneté canadienne. Leur seule voie sera de parrainer l'enfant comme un immigrant reçu, obtenir un visa de résident permanent, et d'appliquer ensuite la citoyenneté canadienne. Un fonctionnaire de CIC a confirmé verbalement que ces dispositions sont rétroactives. Nous avons demandé que le gouvernement nous confirmer, par écrit, que la loi n'est pas rétroactive. Nous mettrons à jour cette section lorsque nous recevons le gouvernement a écrit answer.Q9. Est-ce que cette nouvelle loi ne s'applique qu'aux enfants adoptés? R Non, en plus d'enfants adoptés, les nouvelles règles s'appliquent aux enfants nés à l'extérieur du Canada, à moins que leur parent (s) forme au sein d'une définition spécifique. En outre, le projet de loi C-37 (la nouvelle loi) traite également de nombreuses autres questions de citoyenneté sans rapport avec adoption.Q10. Si j'adopte parent né à l'étranger de parents canadiens, puis-je adopter à l'étranger? A Vous pouvez adopter, mais si vous êtes célibataire vous ne serez pas en mesure d'utiliser la voie de la citoyenneté direct. Votre enfant devra être admis au Canada avec un visa PR. La raison pour cela est que la nouvelle loi s'applique aux enfants de Canadiens nés de Canadiens à l'étranger, ainsi qu'à ceux adoptés à l'étranger. Toutefois, si vous êtes marié à une classe A de citoyen canadien, vous serez alors en mesure d'utiliser la voie de la citoyenneté direct. Q11. Yat-il un "patch" que le gouvernement pourrait utiliser pour réparer cette loi? A L'application de la nouvelle loi devrait être suspendue jusqu'à ce que la communauté d'adoption a une vraie chance d'avoir d'entrée, et peut-être une meilleure solution soit trouvée. Une suggestion est proposée offrirait une exception à la nouvelle loi si l'enfant adopté a vécu au Canada pendant une certaine période de temps indéterminée. En d'autres termes, l'enfant va commencer par la classe B citoyenneté canadienne, et si l'enfant finalement qualifié en vivant au Canada pendant une certaine période de temps, ils se passer à la classe A de la citoyenneté canadienne. Que ce serait une solution satisfaisante pour les parents adoptifs canadiens reste à seen.Note: Ces préoccupations ne se limitent pas aux enfants adoptés à l'étranger, mais s'applique également aux enfants nés à l'étranger. Les implications de cette loi sont susceptibles d'être vus plus immédiatement nés à l'étranger des citoyens de catégorie B que adopté à l'étranger Classe B citizens.Q12. Pourquoi la communauté d'adoption au Canada pas été consulté avant que cette loi est entrée en vigueur? A La communauté d'adoption au Canada n'était pas au courant de ces nouvelles règles jusqu'à ce que les articles parus dans la presse à la mi-Janvier 2009. Comment est-ce arrivé? - Projet de loi C-37 a reçu la sanction royale le 17 Avril 2008. Il entrera en vigueur le premier anniversaire de cette date, le 17 Avril 2009. Depuis plus d'un an précédant l'adoption de la nouvelle loi, le gouvernement a consulté divers groupes d'intérêts qui pourraient être affectés par des changements à la Loi sur la citoyenneté. Il ne semble pas avoir été fait clair, cependant, que la citoyenneté de catégorie B serait créé pour les enfants adoptés à l'étranger. Le 13 Décembre 2008, les règlements d'application de cette nouvelle loi ont été publiés dans la Gazette du Canada, et prévus pour une période de commentaires de 30 jours. Malheureusement, cette période de consultation s'étend sur les fêtes de Noël et les vacances du Nouvel An et a pris fin au début de Janvier. Enterré dans le commentaire joint à la Gazette du Canada a été la déclaration, «La limitation s'appliquera également aux personnes nées à l'étranger adoptés par un parent canadien». Ce n'est que lorsque ces projets de règlements ont été publiés qu'une personne a remarqué et a soulevé une alarme depuis quelques weeks.Surely, si le gouvernement du Canada allait faire quelque chose d'aussi dramatique que créer des règles de Classe B citoyenneté aux enfants adoptés à ce pays, il leur incombe de vraiment porter cette question à l'attention des parents adoptifs, les familles adoptives association, les Bureaux d'adoption provinciale, organismes d'adoption du Canada, et le Conseil d'adoption du Canada. Il est incroyablement dédaigneux de la communauté d'adoption avoir été traité de cette manière par le government.Q13. Que puis-je faire pour arrêter cette nouvelle loi? Un rien peut-être. La nouvelle loi (projet de loi C-37) a été adoptée, a reçu la sanction royale, et ses règlements d'application sont en vigueur. Certains parents envisagent actuellement de déposer une plainte auprès de la Commission canadienne des droits de l'homme. Et, bien sûr, quelqu'un avec des poches profondes pourrait prendre une Charte des droits de défi d'essayer d'avoir la loi déclarée inconstitutionnelle. D'un autre côté, peut-être les parents adoptifs au Canada peuvent parler d'une seule voix et de s'opposer à ce qui s'est passé. Les parents adoptifs au Canada représentent une force politique puissante. À ce jour, cela a été largement inexploité. Il est temps que la communauté d'adoption canadienne fasse sentir son influence. Il n'y a aucune raison pour que nous ne pouvons pas avoir une adoption Caucus des députés et des sénateurs qui écoutent ce qui est important pour la communauté d'adoption au Canada. Le foyer naturel de ces efforts pourrait être le Conseil d'adoption du Canada, qui peut mobiliser une partie de l'énorme énergie et opinions des parents adoptifs dans ce pays. Espérons que cette question de la Classe B citoyenneté canadienne pour certains enfants adoptés à l'étranger fournira une orientation pour les parents adoptifs à travailler ensemble. En attendant, les parents qui souhaitent faire des commentaires sur ce qui s'est passé devraient communiquer avec leur député fédéral et le Conseil d'adoption du Canada | Par:. Douglas Chalke

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